Le TCA est le leader de l’Orne
Le TCA (Tennis Club Aiglon) a tenu son assemblée générale, vendredi 14 décembre, salle Ferry. Bruno Robert, président, avec les membres du bureau à ses côtés, a conduit les travaux de la réunion avec plusieurs dizaines de personnes dans l’assistance. Il a présenté les différents rapports d’activité, moral, financier et projets.
Nécessité d’un court couvert
« Avec 378 licenciés en début d’année, nous sommes le club le plus important de l’Orne avec une progression constante de toutes les classes d’âge. A ce stade de développement, nous affirmons la nécessité d’un troisième court couvert pour entraîner les différents pratiquants. Notons aussi que le tennis loisirs stagne faute d’équipements et j’ajoute que le TCA a acquis la reconnaissance des Aiglons. Nous allons vers les 400 licenciés, d’autant que l’effectif féminin s’est accru également. Mais restons modestes, ce n’est pas un record. Le club a déjà compté quelque 450 licenciés dans les années Noah, vainqueur à Roland Garros ».
Le président a poursuivi en indiquant que « la montée en puissance est due pour une part importante à Pierre-Antoine et Maxime, les deux entraîneurs maison, qui savent repérer les talents en devenir et travailler à élever leur niveau ».
Une progression qui a fixé davantage de partenaires sur le TCA et le président estime que « c’est très important pour le fonctionnement du TCA ». Par ailleurs les consultations facebook et internet se développent « avec jusqu’à 1 500 vues par jour » s’enorgueillit le président.
Reconnaissances et engagements
Le président a reçu récemment un Label Bronze, de la Ligue Normande. Il récompense la qualité de formateur du TCA. Il se dit que le Label Argent est un challenge accessible.
Le TCA participe aussi au sport adapté. « Huit personnes ont été accueillies dernièrement dans ce cadre là. On voudrait aller aussi vers le sport santé, combattre la sédentarité, nuisible à la santé ».
Regrets…
Pour autant, tout n’est pas rose au TCA.
« Nous sommes relégués sur deux terrains et il est impossible de satisfaire nos besoins grandissants sur ces espaces à minima. Comment pratiquer 6 à 8 heures la semaine à l’image des tennismen des autres clubs, sur nos espaces limités ».
Le président, un peu chagrin, ajoute que « la vétusté de notre Club House est aussi un handicap ! »