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La Chine passe une énorme commande de 300 Airbus, l'une des plus grosses de l'histoire de l'avionneur

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 La Chine et Airbus renforcent leur partenariat dans l'aviation civile 290 appareils de la famille A320 et 10 appareils de la famille A350 XWB commandés

La Chine et Airbus renforcent leur partenariat dans l’aviation civile avec la commande de 290 appareils de la famille A320 et 10 appareils de la famille A350 XWB commandés (©A. Peechi / Airbus)

300 avions. C’est le résultat de la mirobolante commande engrangée lundi 25 mars 2019 par Airbus, l’une des plus grosses enregistrées par l’avionneur dans son histoire ! Airbus et China Aviation Supplies Holding Company (CAS), un satellite du gouvernement chinois, ont signé un accord portant sur l’acquisition de 300 appareils Airbus au total pour 13 compagnies aériennes chinoises. 

Lors d’une visite du Président chinois

Cet accord a été signé à Paris par Guillaume Faury, Président d’Airbus commercial Aircraft et futur CEO d’Airbus, et Jia Baojun, président de CAS, en président du président Emmanuel Macron et du président chinois Xi Jinping, à l’occasion de la visite officielle de ce dernier en France. Il porte précisément sur 290 appareils de la famille A320 et 10 appareils de la famille A350 XWB, « ce qui reflète la forte demande des compagnies chinoises dans l’ensemble des segments du marché, notamment pour les vols intérieurs, low-cost, régionaux et long-courriers internationaux », indique Airbus.

« Soutenir la demande chinoise »

« C’est un honneur pour nous de soutenir la croissance de l’aviation civile chinoise grâce à nos familles de monocouloirs et gros-porteurs », a déclaré Guillaume Faury,. Il poursuit :

Le renforcement de nos relations avec la Chine démontre notre confiance durable envers ce marché et notre engagement à long terme vis-à-vis de la Chine et de nos partenaires.

Le marché chinois est en effet en pleine expansion. Selon les prévisions d’Airbus, pour la période 2018-2037, la Chine aura besoin de quelque 7 400 avions passagers et cargos neufs au cours des 20 prochaines années, ce qui représente plus de 19 % de l’ensemble de la demande mondiale.

À fin janvier 2019, la flotte Airbus en service auprès des opérateurs chinois comptait quelque 1 730 appareils, dont 1 455 appareils de la famille A320 et 17 appareils de la famille A350 XWB.

Lire aussi : Toulouse : les commandes du groupe Airbus vont être passées à Guillaume Faury

Assemblés en Chine et en Europe

À savoir qu’en Chine, c’est le gouvernement qui achète les avions, via la CAS, puis les attribue aux différentes compagnies du pays. Pour ce qui est des A320, ces 290 avions seront d’après nos informations assemblés en Europe, mais aussi « pour partie » en Chine, sur le site de Tianjin. Quant aux 10 modèles d’A350, ils seront, eux, tous assemblés à Toulouse.

Selon nos informations, la seule commande portant sur la famille A320 représente 5 à 6 mois d’activité pour Airbus. Un bol d’air supplémentaire pour l’avionneur européen, qui a annonce la fin du programme d’un autre de ses fleurons, l’A380, il y a quelques semaines.

Lire aussi : Airbus annonce officiellement la fin de la production de l’A380


À Lons-le-Saunier, les habitants du quartier des Rochettes s’opposent à la modification du PLU

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Une quarantaine d’habitants du quartier des Rochettes étaient réunis en mairie de Lons-le-Saunier.

Une quarantaine d’habitants du quartier des Rochettes étaient réunis en mairie de Lons-le-Saunier. (©Joffrey Fodimbi)

Ils étaient une quarantaine, dans un bureau bien trop petit pour tous les accueillir, à être venus à la rencontre de Christian Girardi, commissaire enquêteur, chargé de recevoir le public dans le cadre de la modification à venir du Plan Local d’Urbanisme (PLU), qui touche, entre autres, la modification de la zone à urbaniser du quartier des Rochettes.

Une enquête durant laquelle le commissaire enquêteur a rencontré ceux qui le désiraient le jeudi 7, vendredi 15 et lundi 25 mars 2019 ; « et forcément, personnes n’était au courant. On a appris ça par hasard dans la presse, dans la rubrique des annonces légales, mais la Mairie s’était bien gardée de venir nous en parler », regrettait amèrement l’un des habitants du quartier.

En trois jours, un petit groupe d’habitant a réussi à mobiliser une grande partie de leurs voisins, a tel point qu’une pétition réunissant plus de 110 signatures a pu être donnée au commissaire enquêteur, ce lundi 25 mars 2019

« Nous n’avons pu venir qu’à cette dernière journée d’enquête, donc certains d’entre nous ont dû poser une journée de congés pour venir exprimer notre mécontentement », proteste une autre habitante.

Leur mécontentement, ces habitants l’exprime face à l’intention de la municipalité de faire évoluer leur quartier, en modifiant le PLU ; d’une zone UL – dont les constructions autorisées doivent être uniquement liées au sport ou aux loisirs -, à une zone 1AU – soit une zone naturelle à urbaniser, dont les voies publiques et les réseaux existants en périphérie immédiate ont une capacité suffisante pour desservir les constructions à implanter dans l’ensemble de cette zone, et où l’urbanisation doit se faire sous la forme d’ensembles immobiliers nouveaux.

Dans la pétition réunissant des signataires des rues du Général Desvernois, du Capitaine Arrachart, de la Côtette, Lacuzon, des Rochettes, Clertant et du Colonnel de Casteljau, ces derniers expriment « protester contre la construction des bâtis individuels, des logements dits sociaux, d’un institut thérapeutique, d’une salle de sport, des zones de parking mutualisés, des aménagements de voirie considérable – notamment la création de rues reliant les rues Lacuzon/Côtette/Colonel de Casteljau/Clertant. Les voiries actuelles et celles envisagées n’auront pas une capacité suffisante pour accueillir un accroissement de trafic même modéré, dans des conditions de sécurité évidentes dans notre quartier. »

« Nous nous battrons jusqu’au bout »

Autant d’éléments que détaillent deux habitants du quartier, à la tête de la fronde urbanistique : « tout d’abord, il est inscrit sur cette modification à venir que la densité par hectare serait de 25 habitations minimum ; ce qui signifie autant de voitures sur des routes qui ne sont pas en état et pas suffisamment larges, mais également des problèmes pour accueillir les enfants dans les écoles du secteur. Nous y sommes également opposés pour la défense de l’environnement de cette zone boisée où il y a de nombreuses sources d’eau. Quoi qu’il en soit, nous nous battrons jusqu’au bout pour ne pas voir de projet se développer dans notre quartier ; et nous serons prêts à aller jusqu’au tribunal pour nous défendre. Et il ne faut pas oublier non plus que nous allons bientôt être en période électorale. » De manière plus pragmatique, certains habitants avouent également vouloir « garder leur tranquillité dans leur quartier ».

Concernant l’installation éventuelle d’un Institut Thérapeutique, Éducatif et Pédagogique (ITEP), par l’association Saint-Michel le Haut, afin d’y accueillir des enfants, adolescents ou jeunes adultes qui présentent des difficultés psychologiques s’exprimant par des troubles du comportement perturbant gravement leur socialisation et leur accès à la scolarité et à l’apprentissage, là encore, un certain nombre d’habitants s’y oppose : « ce sont des personnes qui ont des soucis par rapport aux règles de vie, qui fuguent, et nous ne sommes pas sûrs de vouloir de ce genre d’établissement dans notre quartier. »

Des problèmes de sol ?

Autre point d’opposition des habitants de ce quartier, le classement à risque ou non du sol. « Est-ce qu’une étude de sol va être faite ? Car il y a une trentaine d’années, certains habitants se sont vus refuser des permis de construire au prétexte que la zone était classée comme dangereuse. Quoi qu’il en soit, il y a de nombreuses dolines dans ce secteur ; il serait donc dangereux d’y construire de nouveau lotissements. »

Autant d’oppositions que l’enquêteur public a recueilli durant une bonne partie de l’après-midi, concluant « qu’un rapport serait remis à la Mairie ainsi qu’un avis, sur lequel le conseil municipal pourra s’appuyer pour modifier ou non le PLU, mais sans obligation d’aller dans le sens de l’enquête publique. »

Judo : Nogent-le-Rotrou en lice en Coupe de France

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Nogent-le-Rotrou sera représenté par trois minimes ce week-end en Coupe de France.

Nogent-le-Rotrou sera représenté par trois minimes ce week-end en Coupe de France.

C’est une performance sportive historique que viennent de réaliser trois jeunes minimes du judo-club Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir) en décrochant leur qualification pour la Coupe de France individuelle.

Seul l’US Orléans judo (700 licenciés) qualifie quatre garçons au sein de la ligue Centre Val-de-Loire.

En effet, uniquement une place en finale du championnat régional, ouvrait la porte au précieux sésame.

Après quatre stages de trois jours pendant les congés scolaires, la participation à quatre tournois nationaux, en plus des épreuves de qualification, les jeunes percherons aborderont ce rendez-vous, comme une juste récompense des efforts consentis depuis deux saisons.

Romain Debray (- 42 kg)

En avance sur le tableau de marche de son entraîneur, ce minime première année, est allé chercher sa qualification au terme d’un combat épique en demi-finale face au rugueux sociétaire de Blois Judo Mizaev, dans une catégorie très dense, où les très nombreux prétendants ne manquaient pas d’arguments et d’expérience.

Titouan Quedec (US Orléans Loiret) vainqueur de la Coupe de France 2018, vient lui infliger une deuxième défaite, non sans avoir démérité, lors du tournoi national de Ballan Miré, début mars. 3e à l’open national de Vendée le week-end dernier, Romain confirme que son travail exemplaire sur le tatami, est un gage de réussite à venir. Perfectionniste, il devra aborder chaque combat, avec relâchement, une place dans le top 16 serait déjà une grande performance, tant le niveau sera très élevé.

Elliot Perriot (- 66 kg)

Après un début de saison mitigé et une remise en question nécessaire de son judo, Elliot s’est donné les moyens de rebondir en acceptant de privilégier la technique et une préparation physique indispensable. C’est en compagnie de son papa, qu’Elliot a occupé ses vacances à gagner en condition physique, sur les chemins percherons et les bords de plage.

Battu en finale des régions par le sélectionné aux championnats de France 2018, Coulibaly de Blois judo, Elliot vient de remporter successivement le championnat d’académie et une médaille de Bronze à Ballan Miré. Gérer l’événement sera son premier défi, tant il est capable de surprendre, lui qui ne lâche rien jusqu’au bout du combat.

Wayne Allain (- 73 kg)

Sous ses apparences de nonchalance, le judoka arrivé en 2017, dans le Perche, progresse à chaque sortie. Très perfectible techniquement et tactiquement, attentif, et généreux, Wayne 2ème à Ballan Miré et 3ème à Orléans doit gagner en constance et en spontanéité.

Parfois sur la retenue, celle-ci lui coûte des victoires. Pour sa première participation à ce niveau, Wayne devra ne pas douter, et lâcher son judo. Capable d’attaquer à droite et à gauche, son gabarit trapu peut être un handicap face aux très longilignes combattants de sa catégorie, une bonne surprise reste possible, tant il peut surprendre à tout moment.

Ils seront six garçons, dont deux camarades du collège Pierre Brossolette, Tanguy Arasen et Pierre Olivier Salesses, avec Estéban Moritoréna (AS Hanches) à tenter de décrocher la meilleure performance possible, sous les yeux des entraîneurs nationaux.

Sur le plan national toujours, Robin Beaumont en juniors, après ses médailles aux quart et demi-finale et sa sélection aux championnats de France juniors, vient de remporter la médaille d’argent en senior en quart de finale et se qualifie pour la demi-finale nationale

Prochains objectifs en mars, pour les jeunes compétiteurs du JCN, le grand prix départemental pour les benjamins et l’open cadets.

Manche : rendez-vous du 14 au 16 juin 2019 pour les Rencontres du patrimoine et des savoir-faire

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De nombreux artisans feront découvrir leur savoir-faire lors des Rencontres du Patrimoine.

De nombreux artisans feront découvrir leur savoir-faire lors des Rencontres du Patrimoine. (© D. Daguier – CD 50)

Organisées conjointement par le Conseil départemental de la Manche et l’Association des Acteurs du Patrimoine de la Manche (AAPM), en partenariat avec le Pôle Hippique de Saint-Lô et plusieurs acteurs locaux, les Rencontres du patrimoine et des savoir-faire de la Manche se dérouleront les vendredi 14, samedi 15 et dimanche 16 juin 2019, au Haras National de Saint-Lô (Manche).

Un nouveau thème

Véritable rendez-vous privilégié des passionnés du patrimoine, professionnels et grand public, cette 3e édition aura pour thème : le patrimoine et les paysages. Les précisions de Marc Lefèvre, le président du Conseil départemental de la Manche.

Le patrimoine paysager et le patrimoine bâti font en effet partie intégrante de notre cadre de vie. Entretenir, sauvegarder le patrimoine parfois oublié, réaliser des aménagements paysagers font appel à de multiples compétences et savoir-faire tels que ceux des artisans restaurateurs en bâtiment, des jardiniers paysagers… Il est donc important de le valoriser afin de le faire connaître. »

Lire aussi : Manche : douze sites sont candidats au Loto du patrimoine

Pour le grand public, ce sera l’occasion d’aller à la rencontre de ces artisans et de nombreux exposants, qui s’emploient à recenser, étudier et entretenir le patrimoine. Les précisions de Christiane Durox-Audic, la présidente de l’AAPM (Association des Acteurs du Patrimoine de la Manche), une association créée en juin 2016.

Ces Rencontres du patrimoine et des savoir-faire ont pour vocation de porter à la connaissance d’un large public toute la richesse et l’excellence des savoir-faire des artisans et acteurs du patrimoine manchois, qui contribuent à sa préservation et à sa remise en état. »

Le petit plus : les causeries du C.A.U.E.
Le C.A.U.E (Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement) proposera des causeries en lien avec ce fil rouge : « patrimoine et paysages ». Certaines à destination des élus, services techniques et associations (« Le végétal, un écrin précieux pour le bâti », vendredi 14 juin 2019, de 15 h à 15 h 40 ; « De l‘usage des couleurs dans le paysage, du bâti à l’espace public », vendredi 14 juin 2019, de 15 h 40 à 16 h 20), d’autres à destination du grand public (« Ici, patrimoine d’Ailleurs », samedi 15 juin 2019, de 15 h à 15 h 40 ; « L’arbre et le bâti », samedi 15 juin 2019, de 16 h 30 à 17 h 10 ; « Les inspirations de la Nature », dimanche 16 juin 2019, de 15 h à 15 h 40 ; « Rêves de paysages », dimanche 16 juin 2019, de 16 h 30 à 17 h 10).

Plus d’actions vers les scolaires

Les enfants ne sont pas oubliés. Une journée leur est même dédiée.

Les enfants ne sont pas oubliés. Une journée leur est même dédiée. (© D. Daguier – CD 50)

Pour cette 3e édition, les organisateurs vont développer encore plus l’accueil des scolaires, sur la journée du vendredi 14 juin 2019. Un programme en deux parties a été spécialement imaginé.

  • Le matin, découverte des métiers au travers de l’histoire et des chantiers du Château de Carneville situé dans le Cotentin. Son propriétaire Guillaume Garbe sera présent sur place avec de jeunes apprentis et échangera avec les scolaires.
  • L’après-midi, un support de visite permettra aux classes de suivre le parcours découverte et d’aller à la rencontre des exposants et artisans.

Lire aussi : Dans la Manche, le château de Carneville a touché le pactole au loto du patrimoine !

De nombreuses animations tout le week-end

Lors de la deuxième édition, 77 exposants étaient présents à Saint-Lô.

Lors de la deuxième édition, 77 exposants étaient présents à Saint-Lô. (© D. Daguier – CD 50)

Comme les deux autres années, les exposants présents proposeront au public de nombreuses animations, ainsi que des démonstrations de leur savoir-faire.

Au programme : 

  • Conférences et témoignages sur le patrimoine bâti et paysager « les causeries »,
  • Animations et démonstrations de savoir-faire par des passionnés du patrimoine,
  • Pour les enfants : ateliers pédagogiques et parcours d’énigmes,
  • Espace de restauration à disposition du public.

Demandez le programme !

Si la liste des exposants n’est pas encore complète et le programme pas totalement finalisé, on peut déjà vous donner un petit aperçu de ce que vous trouverez au Haras National de Saint-Lô. 

Musée de Tatihou. Jeux, île et vous : le paysage à Tatihou.

  • Réalisation de « backgardens » inspirés des jardins japonais.
  • Fabrication de jeux en bois de style morpion avec, pour thème, les jardins (peinture de fleurs ou insectes sur galets pour les transformer en pions).
  • Fabrication de « jouets traditionnels du monde » à base de végétaux.

Musée de la Poterie, à Ger (Manche) : présence de deux potiers qui travailleront sous les yeux des visiteurs durant les 3 jours du salon.

Musée de Vains. Démonstrations de fabrication de sel selon des méthodes mises en place à partir du 9e siècle sur les côtes normandes. Entre 14 h et 16 h 30.

Abbaye de Hambye. Visionnage sur le stand du Conseil départemental de « Hambye 3D », modélisation 3D de l’abbaye.

  • Vendredi après-midi : atelier « Dans les coulisses du musée ».
  • Le samedi et le dimanche : jeu de l’oie sous la tente

Lire aussi : Grâce aux nouvelles technologies, cette abbaye de la Manche retrouve son éclat du XVe siècle

Abbaye du Mont-Saint-Michel. Ateliers pédagogiques sur la thématique du 40e anniversaire de l’inscription du Mont-Saint-Michel et sa baie sur la liste du patrimoine mondial.

Pays d’art et d’histoire du Clos du Cotentin. Évolution d’un paysage avec la création d’un livret animé et exposition d’une maquette en bois.

VMF (Vieilles Maisons Françaises). « Cluedo du patrimoine », le vendredi après-midi.

Les Rencontres du patrimoine et des savoir-faire en quelques chiffres (2018).
4 000 visiteurs (1 000 de plus qu’en 2017), 77 exposants (dont 21 nouveaux), 11 mécènes privés, 8 partenaires publics, 16 démonstrations de savoir-faire, 11 conférences et causeries, 15 ateliers et jeux-concours enfants et jeunes, 3 expositions, 3 remises de prix.

 

Pratique. Les Rencontres du patrimoine et des savoir-faire. Du vendredi 14 au dimanche 16 juin 2019. Rendez-vous au Haras National de Saint-Lô (Manche). La liste des exposants et le programme complet seront prochainement disponibles sur le site internet : www.salonpatrimoinemanche.fr

Toulouse. Trois ans de prison ferme pour le gilet jaune qui a mis le feu à sa cellule au commissariat

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Mardi 26 mars 2019, un homme a été condamné à trois ans de prison ferme pour avoir mis le feu à sa cellule, à Toulouse, samedi 23 mars 2019.

Mardi 26 mars 2019, un homme a été condamné à trois ans de prison ferme pour avoir mis le feu à sa cellule, à Toulouse, samedi 23 mars 2019. (©Lilian Cazabet / Actu Toulouse)

La décision n’a pas tardé à être rendue. Mercredi 26 mars 2019, quatre jours après les faits, un homme a été condamné, par le tribunal correctionnel de Toulouse, à trois ans de prison ferme pour avoir mis le feu à sa cellule, alors qu’il était en garde à vue au commissariat central de la Ville rose.

Arrêté pour avoir allumé un feu sur une barricade

Samedi 23 mars 2019, cet homme de 32 ans est interpellé alors qu’il participe à l’acte 19 des gilets jaunes à Toulouse, repéré en train d’allumer un feu sur une barricade, avenue Camille-Pujol.

Lire aussi : Commissariat de Toulouse : un détenu met le feu à sa cellule, deux policiers intoxiqués

Il déclenche un incendie dans sa cellule

Alors qu’il avait été placé en garde à vue, il a déclenché un incendie dans sa cellule, à l’aide d’un briquet qu’il avait dissimulé, utilisant notamment des papiers et des cartons. Rapidement, les pompiers étaient intervenus pour circonscrire l’incendie. Deux policiers, intoxiqués, avaient dû être transportés à l’hôpital Purpan, et 25 personnes en garde à vue avaient dû être évacuées vers d’autres commissariats de l’agglomération.

Plus de 10 000€ de dommages et intérêts

Présenté à un juge en comparution immédiate mardi, il a été condamné à trois ans de prison, avec mandat de dépôt. Il devra également s’acquitter de plus de 10 000€ de dommages et intérêts

Challenge Honneur – 1/8e aller : « Nous n’avons pas dit notre dernier mot » affirme le coach d’Issigeac

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Issigeac "na pas dit son dernier mot"

Issigeac s’incline à domicile contre Chauray mais « n’a pas dit son dernier mot » (©UA Isigeac)

Ce dimanche 24 mars, lors des 1/8° de finale aller du challenge Honneur, si l’on excepte le cas de l’ARC Chauray qui s’est imposée sur le terrain de l’UA Issigeac (10-14), le suspense est de mise dans cette partie haute de tableau pour les trois autres rencontres. L’US Varetz et l’ES Montignac ont certes ramenés un point de leur voyage sur les terrains du SA Parthenay (25-20) pour le premier nommé et de l’US Saintes (34-28) pour le second mais rien n’est véritablement acquis pour autant. Idem pour le RC Chameyrat qui a pourtant disposé (21-12) de l’AR Aytré, des résultats qui nous promettent des matchs retours très disputés. Villeneuve et Cestas gagne à domicile sans prendre trop d’avance contre Lembeye et la Vallée-de-l’Escou respectivement. Léon l’emporte contre Pont-du-Casse mais regrette de leur avoir laissé le point de bonus défensif et pour finir, le RC Béarnais et Cadaujacq n’ont pu se départager.

Issigeac 10-14 Chauray

« Quatre points ce n’est pas grand-chose »

Jérémy Guillemin, coach d’Issigeac : « Quatre points ce n’est pas grand-chose mais je regrette que nous ayons joué à l’envers et face à une équipe organisée nous sommes tombés dans le piège qui était tendu. Ils ont été malins en nous faisant jouer comme ils le souhaitaient. Maintenant nous n’avons pas dit notre dernier mot, à condition que nous soyons en capacité de développer notre jeu et il faudra à notre tour imposer notre rugby. Pour moi c’est encore du 50/50 et je crois en notre groupe si nous faisons ce que nous savons faire ».

Parthenay 25-20 Varetz

« Il nous faudra être déterminé mais sans trop calculer »

Alan Raimbault, coach de Parthenay : « Le score reflète assez bien la physionomie de la rencontre même si nous n’avons jouer que par à-coup. Le retour s’annonce rugueux mais nous avons toutes nos chances pour peu que nous nous appliquions et que nous jouions tout le match avec la même intensité. Il nous faudra être déterminé mais sans trop calculer car cinq points d’écart ce n’est rien finalement. Nous devons faire comme si c’était le dernier match de la saison et jouer sans pression en fait ».

Chameyrat 21-12 Aytré

« je crois sincèrement en nos chances »

Ludovic Laval, coach de Chameyrat : « Neuf points d’avance, c’est un résultat qui reflète la rencontre même si nous aurions pu espérer mieux. Nous ne leur avons pas laissé le point de bonus, c’est une satisfaction car c’était épais en face. Au retour ce sera serré et pour faire bonne mesure je dirais que ce sera du 50/50 mais nous allons là-bas avec la ferme intention de passer ce tour et je crois sincèrement en nos chances ».

Saintes 34-28 Montignac

Saintes a fait le job à la maison mais le matelas n'est pas bien épais.

Saintes a fait le job à la maison mais le matelas n’est pas bien épais. (©US Saintes)

« C’est une belle satisfaction »

Guillaume Bartholome, coach de Saintes : « C’est une belle satisfaction car nous recevions un cinquième. On a travaillé spécifiquement ce match en allant à la pêche aux infos et cela nous a plutôt réussi au final. Il n’y aura plus d’effet de surprise dorénavant et le match retour ne sera pas simple. Pour autant j’ai la conviction que nous pouvons passer et en tous cas nous savons ce qu’il nous reste à faire si nous voulons y parvenir. Tout reste à faire et cela va se jouer sur des détails sachant qu’il faudra être performant défensivement tout en mettant les points qui se présenteront ».

Léon 37-31 Pont-du-Casse

« les garçons se sont fait plaisir ! »

Arnaud Laussucq (entraîneur de Léon)  : « Match gagné 37-31 avec du jeu dans un match où les garçons se sont fait plaisir ! C’est dommage d’avoir laissé le point de bonus à l’adversaire »

Cestas 14-9 Vallée de l’Escou

Saïd Satour (entraîneur de la Vallée de l’Escou) : « Après une saison longue dans une poule compliquée, les garçons ont abordé ce 1/8e aller en découverte avec la première chaleur de match. On passe une première mi-temps dans notre camp sans être forcément sur le reculoir, car nous dominons par nos avants mais un arbitrage pas toujours compréhensible sur nos phases statiques ne nous récompense pas. L’adversaire nous fait tomber dans un faux rythme, malgré leur volonté de déplacer le ballon par moments.

« Mes joueurs doivent se surpasser et rendre une copie bien plus propre »

Le score est uniquement meublé par le jeu au pied et le tournant du match se situe à 15 minutes de la fin sur un jeu au pied de Cestas où nous prenons un essai casquette en bout de ligne… Sur le coup d’envoi nous récupérons le ballon et reprenons notre domination et sur un maul stoppé une énième fois de manière illicite nous sommes pénalisés avec un carton jaune contre nous au lieu d’un contre eux pour répétition de faute et la pénalité est retournée ! Le score ne bougera pas malgré deux occasions d’essai derrière. Nous abordons ce match retour revanchards en comptant sur notre public. Mes joueurs doivent se surpasser et rendre une copie bien plus propre dans l’engagement pour renverser ce retard ! »

RC Béarnais 19-19 Cadaujacq

Villeneuve 17-13 Lembeye

Une trentaine de postes saisonniers à pourvoir lors d’un job dating à Lons-le-Saunier

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De nombreuses offres sont à pourvoir en restauration.

De nombreuses offres sont à pourvoir en restauration. (©Illustration Publihebdo)

Mercredi 3 avril 2019 de 14 à 17h, dans les locaux de Pôle emploi à Lons-le-Saunier prendra place un job dating axé sur les métiers de l’hôtellerie et de la restauration.

« Nous organisons cette rencontre entre une dizaine d’employeurs et des demandeurs d’emploi afin de susciter des vocations dans un secteur à fort potentiel d’emploi », explique Stéphane Nageotte, le directeur de l’agence, et de poursuivre, « bien sûr, ces entretiens d’embauche seront ouverts à tous, même aux personnes qui ne sont pas inscrites chez nous. Il suffit uniquement de venir avec plusieurs CV papier. »

Si le secteur est complexe, du fait de son fort taux de turnover, avec des conditions de travail parfois difficiles et une activité soumise à la pression, le directeur de l’agence Pôle emploi estime malgré tout que « ces postes, souvent saisonniers, sont une bonne porte d’entrée dans le milieu du travail, pour se faire une première expérience. De plus, les employeurs sont de plus en plus ouverts à des profils variés, ainsi qu’aux personnes sans expériences. »

Un job dating qui permet donc aux employeurs de rencontrer de potentiels candidats « qu’ils n’auraient pas vu en temps normal. Le but ici est également de faire connaître le secteur de l’hôtellerie et de la restauration à des personnes nouvelles, éloignées de ce secteur d’activité. »

Parmi les postes à pourvoir ; cuisinier, serveur, femme de chambre, barman, agent de nettoyage ou encore réceptionniste. Et parmi les entreprises présentes ; le restaurant le Manguier de Lons-le-Saunier, le bar restaurant Le Jura de Bletterans, La chaumière du lac à Clairvaux-les-Lacs, ou encore le camping de la Pergola à Doucier.

Metz : à la place de Quick, Burger King ouvre ses portes dans la ZAC Actisud

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Le quatrième restaurant Burger King de l'agglomération de Metz (Moselle) a ouvert sur la ZAC Actisud au niveau de Moulins-lès-Metz.

Le quatrième restaurant Burger King de l’agglomération de Metz (Moselle) a ouvert sur la ZAC Actisud au niveau de Moulins-lès-Metz. (©Illustration/La Gazette du Val-d’Oise)

Un nouveau Burger King a ouvert ses portes près de Metz (Moselle). Après les deux restaurants de Metz (au centre commercial Muse et à Borny) et celui de Semécourt, un quatrième point de vente est inauguré dans l’agglomération, plus précisément sur la ZAC Actisud à Moulins-lès-Metz, mardi 26 mars 2019.

En comptant les restaurants de Terville et de Saint-Avold, il s’agit du sixième en Moselle. Il est implanté sur le lotissement du Haut-Gazon, à la place de l’ancien Quick, fermé depuis fin 2018.

Lire aussi : Burger King va ouvrir son dixième restaurant de Lorraine à Mont-Saint-Martin fin juillet

La fin définitive de Quick en Moselle

Depuis le rachat de la chaîne de restauration rapide belge par le géant américain, les derniers établissements français avaient été soit rachetés, soit devenus halal. Burger King France avait d’ailleurs annoncé que tous les restaurants Quick changeraient d’enseigne d’ici 2020.

La disparition du Quick de Moulins-lès-Metz signe l’arrêt de mort de la chaîne belge en Moselle. En Lorraine, les derniers fast-food de la marque au logo rouge se trouvent tous en Meurthe-et-Moselle : à Nancy (rue Mazagran face à la gare SNCF), à Vandœuvre-lès-Nancy (ZAC du Plateau face au CHRU de Brabois) et à Mont-Saint-Martin (ZAC des Trois-Frontières).

Lire aussi : McDonald’s, Burger King, Five Guys, Starbucks… Nancy devient-elle la ville de la malbouffe ?


À Avranches, les élus de l'opposition ont demandé une baisse de l'impôt

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Guénhaël Huet, chef de file de l'opposition, a demandé de voter une baisse du taux de fiscalité lors du dernier conseil municipal et David Nicolas, maire d'Avranches.

Guénhaël Huet, chef de file de l’opposition, a demandé de voter une baisse du taux de fiscalité lors du dernier conseil municipal et David Nicolas, maire d’Avranches. (©La Gazette de la Manche)

Le premier vote du budget de la commune nouvelle a été mouvementé, lundi 25 mars à Avranches (Manche).

Guénhaël Huet, chef de file de l’opposition, a profité de cette séance publique pour donner sa vision de la gestion des comptes.

 « Je souhaiterais attirer l’attention sur la dégradation des comptes », a lâché l’ancien maire d’Avranches.

Il tempère en précisant qu’elle n’est pas si grave que « le prévoyait La Cour régionale des comptes. » Guénhaël Huet cite des chiffres sur plusieurs années, avec notamment la hausse de l’endettement de la commune. Il a aussi évoqué l’excédent de financement et le déficit d’investissement à la hausse.

« Ce mot ne me convient pas »

« Vous avez utilisé le mot dégradation, ce mot ne convient pas. Je pense au contraire que nous avons une meilleure capacité à investir. »  David Nicolas réfute cette tendance à la dégradation. Il utilise d’autres chiffres pour dire que la « gestion est bonne. » Le maire d’Avranches parle « d’une vraie ambition d’investissement. » Entre fin 2013 et fin 2018, les dépenses de personnel ont baissé de 4,4 %. Les dépenses à caractère général ont baissé de 0,23 %. Cette maîtrise des dépenses est à mettre en relation avec la baisse des recettes notamment les dotations de l’État.

« En France, les dépenses ont augmenté de 1,6 % », a poursuivi David Nicolas.

Une baisse de la fiscalité

Le vote du budget est prévu sans augmentation de la fiscalité. Le chef de file de l’opposition a proposé une alternative.

« Je souhaite baisser le taux de fiscalité. Notre idée est de restituer une partie des recettes aux habitants. Ce ne sera que justice. »

L’opposition estime que ce geste compenserait la création de la commune nouvelle « sans l’avis des habitants. » David Nicolas a rappelé les différentes étapes avant d’arriver au vote du conseil municipal : les commissions, le débat d’orientation budgétaire.

« Vous brillez par votre absence. »

« Vous n’étiez pas présent. Cette idée n’a jamais été demandée. Vous brillez par votre absence… »

David Nicolas trouve cette proposition « un peu douteuse. » et « démagogique. » Le maire d’Avranches préfère continuer à offrir des services aux habitants. Guénhaël Huet lui précise :

« C’est le conseil qui décide et prend les décisions. Ce n’est jamais le bon moment avec vous », a dit Guénhaël Huet.

Les élus ont voté à la majorité la délibération prévue, sans augmentation de la fiscalité. Les six élus de l’opposition se sont abstenus.

La tribune d'honneur du RC Pont-Audemer porte désormais le nom de Guy Mouchard

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Patrick et Christian Mouchard posent à côté de la plaque qui rend hommage à ce pilier du RCPA que fut leur père (à droite).

Patrick et Christian Mouchard posent à côté de la plaque qui rend hommage à ce pilier du RCPA que fut leur père (à droite).

Ce dimanche 24 mars, tout ce que le rugby pont-audemérien compte de fidèles était réuni au complexe Alexis-Vastine pour inaugurer une plaque apposée sur la tribune honneur en hommage à Guy Mouchard dit Guytou.

Fervent militant rouge et bleu, pour ses 30 ans d’investissement au RCPA en tant que joueur, membre bénévole et élu de la Ville de Pont-Audemer. Homme de convictions, mais avant tout homme, Guytou était un supporter assidu du RCPA. Dans cette tribune résonne à jamais son éternel ‘Allez les Rouges, allez les Bleus, allez les Rouges et Bleus’ ».

Un bel hommage

En présence de Patrick et Christian Mouchard, fils de Guytou, le co-président Didier Lannoy a rappelé que « Guy Mouchard s’était battu pour obtenir cette tribune », récemment repeinte aux couleurs du club par les services municipaux. « L’unanimité s’est faîte pour dénommer cet emplacement. C’est un bel hommage que de saluer sa mémoire par un tel acte. Guy Mouchard, qui fut adjoint au maire en charge des travaux, était à la fois un personnage attachant, gentil, aimable et extravagant », a souligné Michel Leroux, maire.

Publiée par RCPA sur Dimanche 24 mars 2019

Même impression du côté d’un ancien du club, Marcel Senioris : « C’était un pilier du RCPA qui avait commencé le rugby à l’âge de 38 ans. Il était à la fois charognard sur le terrain et homme de cœur ». Pour le conseiller départemental Francis Courel, « c’était une personnalité de grande valeur ». Et comment ne pas finir un tel moment chargé d’émotion sans que l’assistance entonne le fameux hymne « Allez les rouges… » qui lui était si cher.

Plestin. Le championnat de char à voile en images

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Les chars à voile sur la ligne de départ à Saint-Efflam.

Les chars à voile sur la ligne de départ à Saint-Efflam. (©Jean-Paul Leclerq/Le Trégor)

Une course de char à voile comptant pour le championnat régional des jeunes s’est déroulée sur la plage de Saint-Efflam à Plestin-les-Grèves le dimanche 23 mars.

27 compétiteurs ont pu disputer quatre manches sur deux catégories de chars : promo pour les juniors et seniors, Mini 4 pour les benjamins, poussins, minimes et cadets.

Les Plestinais ont investi le podium en promo puisque Alan Trédan emporte la première place et Lucas Spagnol la troisième. En Mini 4, l’absence de Louenn Moal s’est faite ressentir et le Club d’Erquy a raflé les lauriers. Une distinction a été décernée à la première féminine Louna Roger-Lebel.

En minimes, Hugo Carn finit troisième et en cadets, Corentin Le Pape quatrième.

A la gendarmerie de Mortagne-au-Perche, un projet de pôle dédié aux enquêtes judiciaires

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Les quatre gendarmes distingués, entourés du capitaine (à gauche) et du lieutenant (à droite).

Les quatre gendarmes distingués, entourés du capitaine (à gauche) et du lieutenant (à droite). (©Le Perche)

Mardi 19 mars 2019, à Saint-Langis-lès-Mortagne (Orne), le capitaine Camille Sallé, commandant de la compagnie de gendarmerie de Mortagne-au-Perche (Orne), a procédé à l’inspection de la COB (Communauté de brigades) de Mortagne.

Celle-ci a débuté par le lever des couleurs. Le capitaine a remis la médaille de la sécurité routière au gendarme Martin Guilloteau, et une lettre de félicitations à l’adjudant Matthieu Burot, qui a participé à l’évacuation de Notre-Dame-des-Landes. Maxime Poisson et Aymeline Ragouin ont été salués pour une interpellation lors d’un vol dans un restaurant.

Quatre accidents mortels en 2018

Le lieutenant William Vauloup, commandant de la Communauté de brigades (21 gendarmes) a de multiples missions.

Premier constat : les infractions routières (notamment excès de vitesse et conduite sans permis) sont en forte hausse.

En 2018, quatorze accidents dont quatre mortels, ont été recensés.

Les principales causes ? Le non-port de la ceinture de sécurité, la vitesse, l’alcool, les stupéfiants, et les refus de priorité.

Toutefois, le capitaine Sallé souligne que « les gendarmes ne consacrent que 5 à 10 % de leur activité à la sécurité routière, le reste est consacré aux enquêtes judiciaires, très nombreuses pour la compagnie. »

Il est d’ailleurs prévu de créer un pôle spécialisé dans les enquêtes judiciaires, afin d’augmenter la présence des gendarmes sur le terrain.

L'inspection a eu lieu à Saint-Langis.

L’inspection a eu lieu à Saint-Langis. (©Le Perche)

Le capitaine a également informé les élus de la possibilité de fermer l’accès à la communauté de brigades de Mortagne à 18 h au lieu de 19 h, afin de libérer plus tôt le personnel et augmenter sa présence à l’extérieur.

Moins d’atteintes aux biens, plus de violences sexuelles

Les atteintes aux biens (317 faits relevés) sont en baisse de 17 %.

En revanche, les atteintes volontaires à l’intégrité physique des personnes sont en augmentation, notamment les violences sexuelles : plus 60 %.

Les gendarmes de la COB de Mortagne.

Les gendarmes de la COB de Mortagne. (©Le Perche)

Les escroqueries, économiques ou financières, sont multiples. Les escrocs « ne manquent malheureusement pas d’imagination. »

Le capitaine Sallé a mis l’accent sur le dispositif « participation citoyenne », dans lequel des communes se sont déjà engagées.

Il s’agit d’échanges d’informations entre vous, les élus, et nous. 

Chaque commune est en lien avec un gendarme référent, lequel est un contact privilégié.

Nouveau en Normandie : dans cette salle de défoulement, vous pourrez tout casser

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Nicolas Delval et Jean-Philippe Lehou vont ouvrir à Mondeville, près de Caen, une salle de défoulement. Les locaux de 200 m2 sont actuellement en cours de réalisation. Ouverture prévue en mai.

Nicolas Delval et Jean-Philippe Lehou vont ouvrir à Mondeville, près de Caen, une salle de défoulement. Les locaux de 200 m2 sont actuellement en cours de réalisation. Ouverture prévue en mai. (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

Envie de casser des objets du quotidien pour se défouler et se détresser ? Cela va bientôt être possible à Mondeville, près de Caen (Calvados).

Lire aussi : Pour vous défouler et tout péter avec une batte, la première salle de casse a ouvert à Toulouse

Un concept qui vient du Japon

Deux cousins, Nicolas Delval et Jean-Philippe Nehou, lancent un nouveau concept : une salle de défoulement nommée Taka Too KC. Il s’agit d’une première en Normandie. Aujourd’hui, six salles existent en France.

Le concept existe depuis une vingtaine d’années au Japon, ça s’est développé au Canada et aux Etats-Unis et la première salle a ouvert à Paris en 2017, précise Nicolas Delval. 

A l’aide d’une batte de baseball ou d’un club de golf

Le concept : casser pour se défouler des objets de la vie quotidienne, comme une table, une machine à laver, une télé ou une pile d’assiettes avec une batte de baseball, un club de golf ou un pied de biche. « On a découvert le concept dans un reportage à la télévision. On a trouvé l’idée super intéressante et très amusante ».

Pour sa sécurité, le public est équipé de casque, de plastron, de gants, de genouillères ou encore de chaussures de sécurité. Les objets utilisés étaient destinés à la déchetterie.

On récupère les objets, on ôte ce qui est dangereux et on recycle après la destruction. On s’occupe de tout. On a des partenariats avec quelques entreprises pour récupérer des objets destinés à la casse. On peut d’ailleurs aller chez les gens pour en récupérer.

Nicolas Delval et Jean-Philippe Lehou vont ouvrir à Mondeville, près de Caen, une salle de défoulement. Les locaux de 200 m2 sont actuellement en cours de réalisation.

Nicolas Delval et Jean-Philippe Lehou vont ouvrir à Mondeville, près de Caen, une salle de défoulement. Les locaux de 200 m2 sont actuellement en cours de réalisation. (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

Un an de projet, une ouverture prévue début mai

Le projet a émergé il y a un an dans la tête des deux Calvadosiens. Accompagnés dans le lancement de leur entreprise par la Chambre de commerce et d’industrie Caen Normandie, les deux créateurs de 38 ans ont bénéficié d’une subvention coup de pouce de 4.950 € et d’un prêt d’honneur Initiative Calvados de 7.000 €.

C’est notre premier projet de création d’entreprise, c’est très rassurant d’être accompagné dans ce processus, notamment le montage des dossiers de sollicitation d’aides financières, souligne Jean-Philippe Nehou.

Lire aussi : Insolite à Caen : pour sa demande en mariage, il recherche des personnes pour danser dans un flashmob

« Surpris par l’intérêt suscité »

Depuis deux semaines, les deux cousins ont entamé les travaux dans leurs locaux de 200 m² situés dans la ZA Spriet à Mondeville, à côté de l’enseigne Monrocq, derrière Mondevillage. Trois salles vont être créées : une reconstitution d’un appartement, une reconstitution d’un bureau et une pièce avec bouteilles, vaisselle et mannequin pour se défouler. Entre 10 et 30 minutes sont prévues par session, entre une et cinq personnes peuvent participer. Les tarifs sont compris entre 10 et 120 euros selon la formule choisie.

L’ouverture de la salle de défoulement Taka Too KC est programmée début mai.

On est surpris de l’intérêt suscité par notre concept, mais ça fait plaisir. Les retombées sont positives, il y a beaucoup de curiosité. On est vraiment pressé d’ouvrir.

Pratique : Taka Too KC, 8 rue Denis Papin à Mondeville, ZA Spriet. Ouverture prévue début mai 2019.

JEM, une nouvelle auto-école à Gisors, dans l'Eure

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Lors de la soirée inaugurale de l'auto-école JEM, basée rue de Vienne à Gisors, dans l'Eure.

Lors de la soirée inaugurale de l’auto-école JEM, basée rue de Vienne à Gisors, dans l’Eure. (©L’Impartial)

L’auto-école JEM a pris récemment ses quartiers au 77, rue de Vienne, à Gisors (Eure), dans des locaux d’une superficie de 100 mètres carrés.

Elle a été inaugurée l’autre soir par son propriétaire, Tony Héduin, moniteur voitures, motos et remorque, en présence d’élus de la municipalité, d’élèves, et de Francis Hass, président d’Initiative Eure.

En attendant le permis moto

Ce nouvel établissement dispense actuellement des cours de code « connectée », ainsi que des leçons de conduite permis B et AAC (accompagnée). 

À noter qu’à l’occasion de l’ouverture, des tarifs promotionnels sont proposés par la direction qui envisage prochainement d’élargir son offre de service aux futurs motards.

Auto-école JEM au 77, rue de Vienne 27 140 Gisors. Tél. 09 80 96 26 56 – Courriel : autoecole.jem@hotmail.com. FB, Instagram : AUTO ECOLE JEM.

Un quart des Français boit trop d'alcool : testez votre consommation avec ce simulateur

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Selon Santé publique France, 24% des Français dépassent les repères de consommation d’alcool établis en 2019 par l'agence sanitaire.

Selon Santé publique France, 24% des Français dépassent les repères de consommation d’alcool établis en 2019 par l’agence sanitaire. (©Illustration / Adobe Stock)

10,5 millions de Français boivent trop d’alcool en France, soit près d’un quart des adultes de 18 à 75 ans. Un constat dressé par Santé publique France et basé sur des nouveaux repères de consommation fixés en 2017 par un groupe d’experts : 10 verres par semaine et deux verres par jour (et pas tous les jours).

Ces indicateurs sont mis en avant dans une nouvelle campagne de sensibilisation à partir de ce mardi 26 mars 2019.

Lire aussi : Alcool : 41 000 décès par an en France, les autorités pointées du doigt

Testez l’alcoomètre !

A cette occasion, l’agence sanitaire a mis en ligne un outil pour évaluer sa consommation et les risques encourus. L’alcoomètre permet, à partir de quelques questions préliminaires (sexe, âge, poids), d’évaluer sa consommation hebdomadaire d’alcool au regard des nouveaux repères et d’estimer les risques liés à cette consommation. 

« Ce simulateur existait depuis 2010, rappelle à actu.fr Viêt Nguyen-Thanh, responsable de l’unité Addictions à Santé publique France. Il a été mis à jour et la nouvelle version est plus ergonomique pour les utilisateurs. Nous allons démarrer un nouveau travail qui proposera à partir de 2020 un accompagnement aux personnes présentant une consommation au-delà des seuils fixés. »

Santé publique France veut pousser les Français à limiter leur consommation avec un slogan tout neuf.

Pour votre santé, c’est maximum deux verres par jour et pas tous les jours.

10% boivent plus de 10 verres par semaine

D’après Santé publique France, la consommation de nombreux adultes semble encore trop importante selon des chiffres de 2017 (25 319 personnes interrogées au total), publié dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) consacré à l’alcool. 

23,6% des personnes de 18-75 ans dépassaient le repère de consommation sur au moins une de ses dimensions. « Des chiffres sous-estimés entre deux et quatre points, prévient Viêt Nguyen-Thanh. Il y a certainement un biais de sous-déclaration. Les personnes interrogées peuvent avoir des difficultés à se rappeler la fréquence et la quantité de leur consommation sur la semaine précédente. Sur le tabac, les chiffres sont plus précis. Les fumeurs connaissent parfaitement le nombre de cigarettes qu’ils fument chaque jour. »

Dans l’enquête de Santé publique France, « 19,2% des Français révèlent avoir bu plus de deux verres d’alcool en une journée au moins une fois au cours de la semaine précédente ». Ils sont 9,7% à avoir bu plus de 10 verres d’alcool au cours des sept derniers jours et 7,9% déclarent avoir consommé de l’alcool plus de cinq jours sur sept », précise la chercheuse.

Contrairement aux idées reçues, les risques pour la santé d’une consommation d’alcool existent dès le premier verre quotidien. La consommation d’alcool est à l’origine de nombreuses maladies (hémorragie cérébrale, cancers, hypertension) et constitue aujourd’hui une des principales causes de mortalité évitable avec 41 000 décès attribuables par an.

Femmes enceintes : un pictogramme plus lisible en 2020
Pour les femmes enceintes, le message reste « Zéro alcool pendant la grossesse » et un pictogramme plus lisible et visible apparaîtra en 2020 sur les contenants d’alcool. Dans le baromètre 2017 de Santé publique France, 88% des femmes avaient déclaré ne pas avoir bu d’alcool durant leur grossesse.

Lire aussi : Janvier sans alcool : êtes-vous prêt à relever le défi pour améliorer votre santé ?

Les hommes, jeunes et aux revenus modestes, boivent plus

Quelles sont les personnes les plus concernées par cette consommation trop importante ? Pour Santé publique France, il s’agit surtout d’hommes (33 % contre 14 % de femmes). Les jeunes, quant à eux, consomment l’alcool de manière plus intense. Enfin, un tiers de ceux qui consomment davantage ont un revenu mensuel modeste, inférieur ou égal à 1 200 euros.

Pourcentage de personnes ayant consommé plus de 2 verres de boisson alcoolisée en une journée au moins une fois au cours des 7 derniers jours et nombre moyen de verres consommés le jour de consommation maximale parmi ces personnes, par tranche d’âge.

Pourcentage de personnes ayant consommé plus de 2 verres de boisson alcoolisée en une journée au moins une fois au cours des sept derniers jours et nombre moyen de verres consommés le jour de consommation maximale parmi ces personnes, par tranche d’âge. (©Santé publique France)

Une prise de conscience nécessaire

Alors, pour faire prendre conscience de la nécessité de diminuer sa consommation d’alcool, Santé publique France a réalisé un film de 30 secondes pour prouver que l’alcool fait des ravages : « au-delà de deux verres par jour, vous augmentez vos risques d’hémorragie cérébrale, de cancers et d’hypertension. »

Le spot est diffusé du 26 mars au 14 avril à la télévision, sur les plateformes de vidéo en ligne et sur les réseaux sociaux. 

Vidéo. Voir le clip « Pour votre santé, l’alcool c’est maximum deux verres par jour. Et pas tous les jours » :

Une campagne de sensibilisation mise en oeuvre dans le cadre de recommandations formulées en 2017 par le groupe d’experts. D’autres mesures, sur la fiscalité liée aux alcools notamment, faisaient également parti d’une dizaine de propositions remises à l’époque au ministère de la Santé.

Avec APEI-Actualités. Johanna Amselem


Top 14. Perpignan peut-il encore croire en son maintien ?

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Le club de Perpignan est en deuil après le décès de Barend Britz, roué de coups.

Le club de Perpignan ne va rien lâcher et tout faire pour se maintenir en Top 14.  (©Icon Sport)

Perpignan a gagné le match qu’il fallait pour garder un infime espoir de maintien. Avec sa victoire face à Grenoble (22-16) samedi 23 mars 2019, l’USAP a enfin gagné à Aimé-Giral cette saison. Ce résultat permet au club catalan de toujours croire en ses chances pour une place de barragiste. À six journées de la fin du championnat et avec huit points de retard sur le FCG, la marche est encore haute, mais les Catalans ne baisseront pas les bras. 

Calendrier défavorable 

Si Perpignan veut réaliser une incroyable remontada, il devra quasiment faire un sans-faute. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le calendrier des Catalans est défavorable à un exploit. Avec quatre déplacements et deux réceptions, ce n’est déjà pas facile. Mais en plus, ses futurs adversaires jouent tous une place en phases finales du Top 14. Bref, que des gros morceaux (UBB, Lyon, Stade Rochelais, Clermont, Racing 92 et Stade Toulousain). 

En plus de ce mauvais calendrier, Grenoble, de son côté, a joui d’un bien plus abordable. Quatre réceptions et deux déplacements dont la réception de Toulon et d’Agen qui n’ont plus rien à jouer dans ce championnat. 

Lire aussi : Top 14. Castres chute, Perpignan récompense son public… Tout ce qu’il faut retenir de la 20e journée

Dans le cas d’une improbable égalité entre Perpignan et Grenoble, ce n’est pas non plus à l’avantage des Catalans. Le goal-average des confrontations directes demeure favorable aux Isérois qui ont gagné de neuf points au match aller, alors que Perpignan s’est imposé de six unités au retour. 

L’USAP veut croire à une place de barragiste

Après la première victoire à domicile de la saison face à Grenoble, Enzo Selponi a déclaré à Rugbyrama : 

Dans le sport, tout est possible, il faut viser les barrages et pas une autre place. Il faut être compétitif et compétiteur. Nous le sommes. À nous d’enclencher cette marche en avant et mettre du baume au cœur.

Son entraîneur Patrick Arlettaz, lui, est resté plus mesuré au micro de L’Équipe sur les chances dont dispose son équipe d’être devant Grenoble au soir de la dernière journée de Top 14 : « On est à huit points. On pourrait dire : tout est possible. Bien sûr que tout est possible. Mais il y a beaucoup plus de chances pour que Grenoble soit devant nous à la fin de la saison, on n’est pas naïf ».

Lire aussi : Insolite. Un supporter de Perpignan fait 160 kilomètres à vélo afin d’assister au match contre Castres

À l’image du discours d’Enzo Forletta après la victoire face à Grenoble, les Catalans ne vont rien lâcher jusqu’à la fin du championnat.

Tous les éléments semblent être contraires à un exploit des Usapistes. La mission s’annonce donc impossible pour Perpignan, mais les joueurs et le staff feront tout ce qui est possible pour obtenir ce miracle… 

Damien SOUILLÉ

Saint-Gilles-Croix-de-Vie : le 30 mars, et si vous embarquiez pour la Sardinha Cup ?

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Embarquez à bord de l'Ogia, le 30 mars.

Embarquez à bord de l’Ogia, le 30 mars. (©Office de tourisme du Pays de Saint-Gilles)

C’est parti pour trois semaines placés sous le signe de la voile, et des courses au large de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et de l’Île d’Yeu ! Le top départ de la Sardinha Cup est donné, événement nautique de l’année sur le Pays de St Gilles.

Embarquez pour suivre le départ

La Sardinha va se jouer en trois étapes : 

  • le Warm-up le 30 mars (une boucle entre le Pays de Saint-Gilles, l’île d’Yeu et l’estuaire de la Gironde)
  • Acte 2 le 2 avril (première grande course, pour 2 à 3 jours de mer, départ et arrivée du Pays de Saint-Gilles)
  • Acte 3 le 9 avril (2 à 3 jours de mer, départ et arrivée du Pays de Saint-Gilles)
  • Acte 4 le 13 avril (Remise des prix de la 1ère épreuve du Championnat de France Élite de Course au Large + Remise des certificats de validation des acquis des stagiaires de l’événement.)

Si vous pourrez suivre les épreuves depuis le village, à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, vous pouvez aussi embarquer pour suivre la première étape, le 30 mars.

Lire aussi : Saint-Gilles-Croix-de-Vie : Gildas Mahé, premier skipper inscrit à la Sardinha Cup 2019 !

L’office de tourisme vous propose en effet de suivre les premiers miles des skippers en embarquant à bord de l’Ogia.

L’embarquement aura lieu à 13h, et le départ est fixé à 13h30 (embarcadère Ile d’Yeu – avenue Jean Cristau à Saint-Gilles-Croix-de-Vie), pour un retour à 16h30.

Le coût de cette sortie en mer est fixé à 30€ par personne.

Renseignements et réservations dans les Bureaux d’information touristique de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Hilaire-de-Riez, Brétignolles-sur-Mer et Brem-sur-Mer.

Sardinha, kézako ?

La Sardinha Cup va vivre cette année sa première édition, du 26 mars au 13 avril. Cette course en double à la voile est inscrite au Championnat de France Elite de Course au Large.

Les skippers vont se disputer la victoire à bord des nouveaux bateaux Figaro Bénéteau 3, la nouvelle génération des monotypes dotés de foils.

Lire aussi : Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Solitaire Urgo Le Figaro : des remerciements à tous les acteurs impliqués

34 skippers sont inscrits, dont Pascal Bidégorry, Conrad Colman, Loïck Peyron, Jérémie Beyou, Benjamin Dutreux, Samantha Davies… 

‍Cette épreuve est organisée par le Team Vendée Formation, qui en assure la promotion, la logistique…

Q‍ui sont les équipages

Au 14 mars, 34 bateaux étaient inscrits :

  • Breizh Cola Equité : Gildas Mahé / Morgan Lagravière
  • Charal : Jérémie Beyou / Alan Roberts
  • Sebago : Alberto Bona / Ian Lipinski
  • Tremplin Sud : André Morante Perez / Roland Montagny
  • Le Hub by OC Sport : Charles Caudrelier / Fabien Delahaye
  • Team Vendée Formation : Vincent Domand/ Benjamin Dutreux
  • Emile Henry : Erwan Le Draoulec / Clarisse Cremer
  • Queguiner : Tanguy Le Turquais / Armand De Jacquelot
  • Bretagne CMB Performance : Loïs Berrehar / Thomas Rouxel
  • Bretagne CMB Espoir : Tom Laperche / Ronan Treussart
  • Niji : Gildas Morvan / Gaston Morvan
  • Ethical Power : Conrad Colman / Sébastien Marsset
  • Guyot Environnement : Pierre Leboucher / Erwan Tabarly
  • NF Habitat : Corentin Douguet / Corentin Horeau
  • ST Michel : Yann Éliès / Samantha Davies
  • Leyton : Arthur Le Vaillant / Pascal Bidégorry
  • Eclisse : Cécile Laguette / Dan Jowett
  • Action Enfance : Loïck Peyron / nc
  • Produlic : Benoit Hochart / Pierre Colombel
  • Skipper Macif 2017 : Martin Le Pape / Charlie Dalin
  • Skipper Macif 2019 : Pierre Quiroga / Yoann Richomme
  • Région Normandie : Alexis Loison / Frédéric Duthil
  • Oman Sail 1 : Nicolas Lunven / Sami Al Shukaili
  • Oman Sail 2 : Julien Villion / Ali Al Balushi
  • Groupe Royer : Anthony Marchand / Paul Meilhlat
  • Smurfit Kappa : Tom Dolan / nc
  • Atlantic Youth Trust : Joan Mullow / Mike Golding
  • Team Work : Justine Mettraux / Gwénolé Gahinet
  • Ma Chance, Moi Aussi : Robin Marais / Louis Duc
  • Eclisse : Cécile Laguette / Dan Jowett
  • Groupe Snef : Xavier Macaire / Achille Nebout
  • Eureka : Henri Léménicier / Kevin Bloch
  • Benjamin Schwartz / Cédric Pouligny
  • Benoit Mariette / Clément Bouyssou

Cantal. Un hectare d'herbe sèche part en fumée à Leucamp

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Des pompiers sont intervenus pour éteindre un feu d'herbe sèche mardi 26 mars 2019 sur la commune de Leucamp.

Des pompiers sont intervenus pour éteindre un feu d’herbe sèche mardi 26 mars 2019 sur la commune de Leucamp. (©VDC)

Ce mardi 26 mars 2019, vers 12h, des pompiers d’Aurillac, Maurs, Montsalvy, Saint-Mamet et d’Entraygues (en Aveyron) sont intervenus pour éteindre un feu d’herbe sèche dans un sous-bois au lieu-dit La Garde sur la commune de Leucamp.

Le feu s’est étendu sur un hectare et il n’a fait aucune victime.

Cherbourg : avis aux amateurs, le Fifty's brade son mobilier

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François Bletel, directeur du Fifty's, proposera dimanche prochain des centaines d'articles à prix bradés.

François Bletel, directeur du Fifty’s, proposera dimanche 31 mars des centaines d’articles à prix bradés. (Jean-Paul BARBIER)

Au Fifty’s, à Cherbourg, tout doit (presque) disparaître ! C’est en tout cas ce que l’on avance du côté de la direction de l’enseigne cherbourgeoise.

Fermé depuis le 31 janvier, le bar-restaurant liquide tout son mobilier le dimanche 31 mars, à partir de 9 h 00. Une vente ouverte aux professionnels comme aux particuliers.

Lire aussi : Etablissement historique de Cherbourg, le Fifty’s Diner va fermer ses portes

« Il y a des affaires à faire ! »

Chaises, tables, couverts, ustensiles de cuisine et même une partie de la terrasse seront disponibles à la vente.

François Bletel, le directeur de l’établissement situé place de Gaulle, apporte quelques précisions : 

Les tarifs seront très avantageux. Il y a des affaires à faire

Une vente toujours dans les tuyaux 

Soucieux d’être le plus attractif possible pour vider totalement les lieux, le patron du Fifty’s espère donner un visage plus « présentable » face aux éventuels repreneurs.

François Bletel fait d’ailleurs le point sur la situation : 

La vente n’est pas au point mort. Des gens sérieux semblent intéressés

Lire aussi : L’enseigne de fast-food KFC va s’installer à Cherbourg

En attendant, le rendez-vous est fixé à dimanche matin pour tourner l’ultime page du Fifty’s

Seine-et-Marne. Education : les Atsem veulent se faire connaître

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Un collectif national veut faire connaître le métier d'Atsem, que pratiquent depuis plusieurs années les Briardes Patricia Corcessin et Laëtitia Fourgeat, à Mouroux et Beautheil-Saints.

Un collectif national veut faire connaître le métier d’Atsem, que pratiquent depuis plusieurs années les Briardes Patricia Corcessin et Laëtitia Fourgeat, à Mouroux et Beautheil-Saints.

Atsem, ça vous parle ? Si vous ne connaissez pas la signification de cet acronyme, vous connaissez forcément une Atsem. Ce sont les agents territoriaux spécialisés des écoles maternelles, ces employés communaux qui assistent dans leur tâche les enseignants des écoles maternelles. Vendredi dernier avait lieu la journée nationale des Atsem. Elle est mise en place depuis 2016 par un collectif indépendant, ATSEM de France. Le but de cette journée qui a lieu chaque premier jour de printemps ? Donner un peu plus de visibilité à ce métier méconnu et pourtant indispensable au bon fonctionnement des établissements scolaires.

« Une vocation »

Un métier qui commence seulement à gagner en visibilité. Laëtitia Fourgeat est Atsem depuis 10 ans. Elle travaille actuellement à l’école maternelle de Beautheil-Saints. Longtemps, elle était « la dame » aux yeux des parents : « La reconnaissance de notre métier, c’est important, confie-t-elle. D’autant que c’est un métier difficile, on n’y vient pas par hasard, c’est une vraie vocation que d’être Atsem ».

C’est en tant que parent d’élèves qu’elle découvre ce métier. « J’ai rencontré ces fameuses ‘dames’ (rires) qui travaillaient avec les professeurs des écoles. En discutant avec elles, en observant leur travail, j’ai vu que cela me plaisait, j’étais bien dans cet univers. J’ai donc décidé de passer mon CAP petite enfance et de passer le concours Atsem », explique celle qui a été auparavant animatrice puis secrétaire.

« Donner envie d’aller à l’école »

La Resbacienne Patricia Corcessin est de son côté Atsem depuis 30 ans. Elle travaille de son côté à l’école du Moulin, à Mouroux. « La journée nationale des Atsem nous permet de faire connaître nos missions au sein des écoles », ajoute-t-elle. D’autant que d’une commune à une autre, les tâches des Atsem peuvent être différentes : « En fonction des collectivités, ce n’est pas le même métier, poursuit Patricia Corcessin. Dans certaines écoles, les Atsem sont également présentes pendant les pauses méridiennes, pendant les activités périscolaires… Mais notre première mission reste de contribuer au bien-être de l’enfant à l’école et d’assister l’enseignant dans son travail ». Être Atsem, c’est surtout avoir une relation privilégiée avec les enfants : « Quand il peut y avoir un Atsem par classe dans une école, c’est l’idéal, explique Laëtitia Fourgeat. Cela permet de suivre une même classe toute l’année. Dans certaines écoles, les Atsem ont plusieurs classes, cela implique de courir d’une salle à l’autre et de moins être dans cette relation d’échange et de partage avec l’enfant ». C’est d’autant plus important, enchérit Patricia Corcessin, car « les enfants passent beaucoup de temps à l’école, ils voient plus les Atsem que les parents. Il faut leur donner envie d’aller à l’école et les habituer à la vie scolaire ».

Un temps avec les enfants pour cette journée

Les deux Briardes décrivent un travail enrichissant, passionnant, qui gagne à être davantage connu. Cela passera peut-être par les actions prévues à l’occasion de cette édition 2019 de la journée nationale des Atsem. « Dans mon école de Beautheil-Saints, nous allons réaliser une petite danse avec les élèves, et nous ferons quelques photos et une vidéo, précise Laëtitia Fourgeat. J’ai la chance d’avoir été soutenue dans ma démarche par la mairie et l’école, et les parents ont trouvé que c’était bienvenu ».

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