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Municipales 2020 : Florence Morel présente sa liste pour Criquiers

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Florence Morel, au centre, dévoile sa liste pour les élections municipales à Criquiers, près d'Aumale (Seine-Maritime).

Florence Morel, au centre, dévoile sa liste pour les élections municipales à Criquiers, près d’Aumale (Seine-Maritime). (©Le Réveil de Neufchâtel)

Il y a quelques semaines, Florence Morel annonçait sa candidature aux élections municipales de Criquiers, près d’Aumale (Seine-Maritime). Elle fera face à Claude Michel, le maire sortant. Elle a décidé de mener campagne avec pour slogan « Construisons ensemble pour l’avenir ».

Lire aussi : Florence Morel fera face à Claude Michel à Criquiers

Salariée pour un gestionnaire du logement social, mais également présidente de l’association Sports et Loisirs de Criquiers, Florence Morel se présente car elle estime que « pour la démocratie, il fallait une seconde liste ».

Nous allons continuer les travaux qui sont déjà en route. Nous allons mettre l’accent sur le lien social, le respect et la communication. Nous serons très attentifs à la gestion du budget de la commune. Le maintien des écoles maternelle et primaire fera partie de nos projets phare. Notre liste se veut apolitique. C’est une équipe volontaire, compétente avec le sens des responsabilités. Elle saura se rassembler autour d’un projet commun et d’un mode de gouvernance où chacun aura sa place ».

Sa liste sera composée de : Monique Bethembos, José Blanck, Carol Carrez, Pascal Carrez, Florence Dauphin, Emeline Delamare, Lutgart Dieryck, Elie Fardoux, Nathalie Gilles, Laurent Grognet, Joël Levasseur, Christian Loquette, Florence Morel, Laurent Morel, Marie-Odile Robac.


Municipales : Yves Revault d'Allonnes conduira une liste de gauche à Tréguier

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Yves Revault d'Allonnes mènera une liste de gauche à Tréguier.

Yves Revault d’Allonnes mènera une liste de gauche à Tréguier. (©DR)

C’est maintenant officiel : il y aura une deuxième liste à Tréguier pour les élections municipales. L’ambition de cette liste, Tréguier solidaire, avec Yves Revault d’Allonnes à sa tête est de « mettre l’humain au cœur de la ville ». Si le programme complet et les documents de campagne sont en cours de finalisation, les grandes lignes s’articulent autour d’une pétition de principe : la « démocratie participative ».

Nous ne ferons rien seuls, nous ne ferons rien sans les habitants.

Donc : conseils de quartier, conseil municipal des jeunes, conseil municipal des enfants, politique jeunesse, politique seniors, et bien entendu fusion des communes rentrent dans ce cadre.

Une ville à vivre

 » Bâtissons ensemble une ville où il fait bon vivre au quotidien ». On trouve ici, tout ce qui touche à l’habitat social, l’habitat insalubre, le logement temporaire (pour les étudiants, stagiaires de l’IFAS, du CAT, …), à l’urbanisme, à la voirie, etc. « L’aménagement des quais est primordial, avec une aire de pique-nique, une aire de jeux sécurisée pour les enfants, une aire de basket-ball sécurisée, la couverture partielle du boulodrome, le développement des activités nautiques.

Développons ensemble une ville accueillante, festive et connectée. Nous incluons tout ce qui touche aux mobilités intra comme extra-muros, à l’accès renforcé aux services publics de proximité.

Yves Revault d’Allonnes et son équipe veulent attacher une attention toute particulière à l’extension du port de commerce, de pont à pont et en symbiose avec les autres communes de la vallée. Mais aussi le soutien aux entreprises et commerces existants et la création d’entreprises sociales et solidaires. Et, bien sûr, le renforcement d’un des atouts majeurs de Tréguier : la culture.

Lire aussi : Municipales 2020 : Guirec Arhant candidat à sa succession à Tréguier

Autour du projet des Sœurs du Christ, » dont il faudra faire que la population se l’approprie et le fasse vivre, nous voulons créer de nouveaux moments de solidarité entre Trécorrois, sur le modèle de la Fête de la Musique ou du Tantad qui est devenu une tradition annuelle ». 

Tréguier ne doit pas rester ville morte à Noël.

L’équipe veut une ville confiante :  » Ouvrons la voie d’un Trégor libre de ses choix et confiant dans les capacités d’un collectif engagé ». 

Lire aussi : Municipales. Une liste de gauche se lance à Tréguier

En Mayenne, cette cantine scolaire a mis les ingrédients pour être exemplaire

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A la cantine scolaire de Saint-Jean-sur-Mayenne, tout le monde joue le jeu face au gaspillage alimentaire.

A la cantine scolaire de Saint-Jean-sur-Mayenne, tout le monde joue le jeu face au gaspillage alimentaire. (©Courrier de la Mayenne)

Depuis quelques années, au restaurant scolaire de Saint-Jean-sur-Mayenne, les élèves et leurs encadrants utilisent plusieurs ingrédients afin de rendre le temps du repas agréable pour tous.

Chaque jour, deux services sont mis en place. Le premier, de 11h40 à 12h40, concerne les TPS, PS, MS et CP ; le second, les CE et CM. En tout, 175 repas sont servis et dix agents sont présents pour l’encadrement.

« Le maître du silence s’assure que personne ne crie »

David Terrier est le directeur du pôle enfance-jeunesse. Il revient sur la genèse d’un projet qui, aujourd’hui, porte ses fruits : « En 2016, l’école publique Elise-Freinet a mis en place une action pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Dans le cadre du label Eco-école, en partenariat avec eux et l’école privée, un an plus tard, nous avons souhaité assurer la continuité. »

Des pesées alimentaires, dans les plats et les assiettes, ont été effectuées afin de mettre un poids sur le gaspillage alimentaire. « Et l’on a délégué des rôles aux enfants dans le cadre du bien-manger. »

Six rôles ont été créés. A chaque table, un élève est désigné maître du silence : « Il s’assure que personne ne crie. » Un autre, l’économe, « doit vérifier les assiettes ». L’animateur, lui, doit faire en sorte que ça discute bien. Le sourcier est chargé d’aller chercher l’eau et le pain. Le partageur s’assure que tout le monde ait la même chose dans son assiette. Enfin, le chef du rangement vérifie que tout est mis en bout de table à la fin et que les déchets sont bien triés.

Des ateliers avec Unis-Cité

David Terrier développe : « Cela concerne les élèves du CP au CM2. A table, chacun s’installe où il veut, une place ayant une couleur et donc un des six rôles en question. »

Les écoliers sont investis et les pesées alimentaires, assurées par le pôle Animation environnement nature de Laval Agglomération, sont parfois effectuées en cachette. « Cela a permis de diminuer certaines quantités par rapport au nombre d’enfants ou à l’âge. C’est encore plus simple lors des vacances, où les enfants sont moins nombreux. Il arrive qu’on n’ait aucun gaspillage », précise l’encadrant. « Deux jeunes d’Unis-Cité interviennent aussi pour des ateliers de sensibilisation : quiz, équilibre d’un menu, etc. », ajoute David Terrier.

Le diplôme de l’anti-gaspi

Dans le restaurant scolaire, des affiches de sensibilisation ont été installées, notamment concernant la malbouffe. « On peut en manger, mais pas en abuser. »

Et à l’entrée, rayonnant, le  »diplôme de l’anti-gaspi 2018-2019 » obtenu après 17 pesées. Les déchets d’assiette représentent 12,83 grammes par élève et par repas. Avec les restes des plats non servis, les déchets s’élèvent à 104,59 grammes par élève et par repas, un chiffre en dessous de la moyenne nationale. L’un des objectifs est aussi que l’enfant retransmette toutes ces informations chez lui. Le service de restauration Convivio joue aussi le jeu en utilisant des plats en inox pour les liaisons chaudes ou froides.

Tout le monde souhaite poursuivre sur cette lancée. « Il y a certaines choses à améliorer, comme continuer à utiliser le moins possible de plastique, indique David Terrier. Et puis pourquoi pas impliquer les plus jeunes à la démarche. »

Municipales : une 2e liste entre en lice à Lézardrieux

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1 rang de gauche à droite : Anne-Yvonne Lecop, Lionel Le Bail, Fabienne Briand, Henri Paranthoën, Amélie Conan, Pierre-Yves Arzul, Jeanne Chrerel. 2 rang : Nicolas Lescouarch, Gilles Allain, Christine Blondel, Yoann Jumel, Yannick André Corinne Schchard, Loïc Guillou.

Au premier rang de gauche à droite : Anne-Yvonne Lecop, Lionel Le Bail, Fabienne Briand, Henri Paranthoën, Amélie Conan, Pierre-Yves Arzul, Jeanne Chrerel. Au deuxième rang : Nicolas Lescouarch, Gilles Allain, Christine Blondel, Yoann Jumel, Yannick André Corinne Schchard, Loïc Guillou. (©La Presse d’Armor)

Henri Paranthoën va mener une deuxième liste pour les municipales 2020 à Lézardrieux.

« Plus proches de vous » : c’est sous ce slogan que les quatorze colistiers se sont rassemblés derrière lui.

Lire aussi : Municipales 2020 : Marcel Turuban candidat à Lézardrieux

Moyenne d’âge : 53 ans

La moyenne d’âge est de 53 ans et allie « diversité, compétence et équilibre entre actifs et retraités ».

La liste compte sept anciens conseillers et beaucoup sont impliqués dans la vie associative.

Nos préoccupations, au quotidien, seront de mettre en place les conditions d’un nouvel essor, respectueux des projets engagés et acteurs dynamiques de projets structurants à venir. Conscients des compétences dévolues à Lannion-Trégor-Communauté, nous serons présents à ses côtés pour agir dans l’intérêt du développement de notre territoire.

Deux réunions publiques seront organisées début mars.

Les colistiers

  • Anne Yvonne Lecop, 55 ans, ingénieur télécoms
  • Lionel Le Bail, 49 ans, technicien hospitalier
  • Fabienne Le Briand, 54 ans auxiliaire de vie
  • Henri Paranthoën, 67 ans, retraité directeur financier
  • Amélie Coana, 27 ans, ingénieur agro alimentaire
  • Pierre-Yves Arzul, 62 ans, retraité fonction publique
  • Jeanne Chérel, 78 ans, retraité de l’enseignement
  • Nicolas Lescouarch, 40 ans, agriculteur
  • Gilles Allain, 55 ans, acheteur agréeur légumier
  • Christine Blondel, 52 ans, agent hospitalier
  • Yoann Jumel, 37 ans, gérant chef d’entreprise
  • Yannick André, 62 ans, directeur Ehpad
  • Corinne Schuchard, 53 ans, consultante d’entreprise
  • Loïc Guillou, 48 ans, paysagiste
  • Claudine Hervo, 62 ans, retraitée consultante urbanisme

Municipales 2020 : Vladimir Hangard rassemble une équipe jeune, à Illeville-sur-Montfort

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Neuf nouvelles figures ont rejoint l'équipe paritaire menée par Vladimir Hangard, tête de liste.

Neuf nouvelles figures ont rejoint l’équipe paritaire menée par Vladimir Hangard, tête de liste. (©Eveil de Pont-Audemer)

La liste « sans étiquette » « Illeville-sur-Montfort, notre passion commune » conduite par l’actuel maire, Vladimir Hangard, a été dévoilée lundi 10 février. Elle se compose de sept femmes et de huit hommes, dont six conseillers sortants. Et ils se sont exprimés récemment sur leur blog :

Après avoir fait acte de candidature, nous avons tous choisi de rejoindre la liste menée par Vladimir Hangard. C’est avec enthousiasme et conviction que nous nous présentons comme candidats et candidates sur cette liste.

Lire aussi : Le Haut débit a été installé à Illeville-sur-Montfort

Une équipe diversifiée et représentative de tous les hameaux, dont le slogan pourrait être « De la nouveauté dans la continuité » puisque ses membres ont annoncé que le projet pour les six années à venir sera de proposer « des idées nouvelles pour la commune » tout en inscrivant leur programme « dans la continuité du mandat qui s’achève » ; programme en cours de finalisation, qui devrait être présenté aux Illevillais à la fin du mois.

À noter qu’une réunion publique suivie d’un échange avec les habitants se tiendra le mercredi 11 mars à 20 h, à la salle d’activités.

Voici les candidats (dans l’ordre de la photo) de la liste « Illeville, notre passion commune », menée par Vladimir Hangard. Assis au premier rang, de gauche à droite : Danièle Delarue, 71 ans, retraitée, maire adjointe sortante ; Vladimir Hangard, 38 ans, professeur des écoles ; Thomas Levasseur, 45 ans, agriculteur, maire adjoint sortant ; Chloé Quillet, 38 ans, assistante maternelle, conseillère municipale sortante ; Isabelle Richard, 56 ans, assistante maternelle, conseillère municipale sortante ; Murielle Ducreux, 54 ans, secrétaire de direction, conseillère municipale sortante. Debout, de gauche à droite, Julien Gavelle, 32 ans, technicien de laboratoire ; Philippe Beauvallet, 70 ans, retraité ; Philippe Traverse, 65 ans, retraité ; Nicole Biez, 70 ans, retraitée ; Jacques Cotard, 58 ans, directeur des ressources humaines ; Hortense Waxin, 37 ans, assistante de gestion ; Maryan Hébert, 44 ans, directeur d’agence ; Virginie Paillier-Le Roscouet, 43 ans, formatrice ; Romain Baer, 31 ans, technicien en insémination bovine.

Retrouvez toute l’actualité liée aux Municipales via notre onglet dédié, sur l’Eveil de Pont-Audemer.

Réforme des retraites : l'examen à l'Assemblée vire au blocage

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Richard Ferrand à l’Assemblée nationale, le 19 février 2020 à Paris. (©AFP/Alain JOCARD)

L’examen de la réforme des retraites a viré au blocage à l’Assemblée nationale : au troisième jour des débats mercredi 19 février 2020, les rappels au règlement et suspensions se sont succédé dans une grande tension, empêchant l’avancée des travaux sur les milliers d’amendements.

Dès l’ouverture de la séance à 15 heures, le ton a été donné avec des rappels au règlement de LR réclamant des éclairages sur le financement de la réforme, et de la gauche dénonçant les règles en vigueur pour l’examen des 41 000 amendements.

Lire aussi : Réforme des retraites : la bataille lancée à l’Assemblée, dans une ambiance chahutée

Chant des Gilets jaunes

Dans une atmosphère houleuse, les trois groupes de gauche -PS, PCF et LFI- ont contesté les mesures prises la veille en conférence des présidents de l’Assemblée pour quadriller le débat, prévoyant notamment un seul orateur sur les amendements identiques.

Pour la gauche, il est en particulier inacceptable que des amendements placés à différents endroits du texte tombent au motif qu’ils auraient le même objet.

« C’est grave ce qui se passe », a lancé Sébastien Jumel (PCF), en accusant le président de l’Assemblée Richard Ferrand (LREM) « d’autoritarisme ».

Au perchoir, Richard Ferrand a défendu l’application d’une « règle constante » et exclu toute nouvelle conférence des présidents au motif que « les humeurs changeraient ».

Le patron de LR Christian Jacob est lui aussi intervenu, affirmant qu’avec une telle règle « on arrive à quelque chose de ridicule ».

Plusieurs suspensions de séance ont suivi, entrecoupées de l’examen d’une poignée d’amendements, rappelant la paralysie de juillet 2018 lors de l’examen du projet de révision constitutionnelle, victime collatérale de l’affaire Benalla.

Les communistes, qui ont demandé comme la veille une vérification du quorum, ont vite épuisé leur quota de suspensions et ont donc demandé… un vote pour interrompre momentanément les travaux.

Et lors d’une des multiples pauses, à la veille d’une nouvelle journée interprofessionnelle de mobilisation, plusieurs insoumis et communistes ont entonné le chant des Gilets jaunes « on est là ».

Lire aussi : Réforme des retraites : le face-à-face ne fait que démarrer à l’Assemblée

Christian Jacob à l'Assemblée nationale, le 19 février 2020 à Paris.

Christian Jacob à l’Assemblée nationale, le 19 février 2020 à Paris. (©AFP/Alain JOCARD)

« Cirque »

« Quelle image donnons-nous de nos travaux? C’est de l’antiparlementarisme de base », s’est offusqué le co-rapporteur Nicolas Turquois (MoDem), applaudi par la majorité, debout, tandis que le secrétaire d’Etat Laurent Pietraszewski plaidait pour en revenir au débat.

Sur Twitter, des élus disaient leur « honte » que l’Assemblée « se transforme en cirque » ou déploraient « un concours Lépine de l’obstruction désolant ».

« Attention, vous jouez avec le feu », a aussi lancé le chef de file des députés LREM Gilles Le Gendre à l’opposition.

« La question n’est plus celle du débat sur les retraites mais celle de la défense des institutions », s’est-il égosillé, dans une intervention conclue par une standing ovation des « marcheurs » et une énième suspension de séance.

Christian Hutin (app. PS) s’est pris le bec avec le « marcheur » Mickaël Nogal. « Je viens de me faire injurier publiquement », a affirmé l’élu de gauche.

Laurent Pietraszewski à l'Assemblée nationale, le 19 février 2020 à Paris.

Laurent Pietraszewski à l’Assemblée nationale, le 19 février 2020 à Paris. (©AFP/Alain JOCARD)

Le spectre du 49-3

Depuis lundi, les débats patinent sur cette réforme visant à créer un système « universel » de retraites par points. Après de longues discussions sur le titre même du projet de loi, les députés n’ont entamé qu’en début de soirée l’examen de l’article 1er, consacré aux « principes généraux » et qui fait l’objet à lui seul de plus de 1700 amendements.

Dans l’espoir que le calendrier puisse tenir, les députés siègeront au moins jusqu’au 6 mars, avec des travaux ce week-end.

Le spectre de l’utilisation du « 49-3 », arme de la Constitution qui permet au gouvernement d’abréger les débats et de faire adopter un projet de loi sans vote, plane.

« On va vers l’inconnu total », admet une source gouvernementale, qui dit assister « à ce triste spectacle bras ballants ». « On ne va pas supporter ça trois semaines (…) Est-ce que l’atterrissage inéluctable ne sera pas le 49-3? ».

Le recours au « 49-3 », serait-il une défaite? « Pas du tout », a répondu le député LREM Florian Bachelier devant l’Association des journalistes parlementaires. « Il ne faut pas que la majorité s’enferme dans le piège tendu par l’extrême gauche » et « chacun prendra ses responsabilités ».

Lundi soir, un « marcheur » prédisait : « soit c’est pénible mais on y arrive (…), soit ils font du Benalla et ça bloque complètement… »

Les principaux points de la réforme des retraites.

Les principaux points de la réforme des retraites. (©AFP/)

Source : © 2020 AFP

Karaté Kyokushin. Sept combattants de Bayeux représentent la France en Russie

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En soutien à cet événement important et en reconnaissance de leur engagement, la Fédération Française de Karaté les a dotés du survêtement officiel de l'équipe de France de karaté. Les jeunes les ont reçus vendredi 14 février lors de leur entraînement au gymnase du lycée Alain Chartier. Ils seront accompagnés de Franck Peretel et Dominique Dorsy, respectivement coach et assistant coach et bénévole dont le dévouement pour le club force le respect.

En soutien à cet événement important et en reconnaissance de leur engagement, la Fédération Française de Karaté les a dotés du survêtement officiel de l’équipe de France de karaté. Les jeunes les ont reçus vendredi 14 février lors de leur entraînement au gymnase du lycée Alain Chartier. Ils seront accompagnés de Franck Peretel, instructeur, et Dominique Dorsy, assistant coach et bénévole dont le dévouement pour le club force le respect. (©La Renaissance le Bessin)

Pour la première fois de son histoire, l’équipe « Basse-Nörmandie Kyokushin » participe à la Russian Open Junior Cup 2020, deuxième tournoi le plus important au niveau mondial. Il a lieu du 21 au 23 février 2020 et va réunir 1 700 compétiteurs à Moscou. Une fois encore, le Bayeux Kyokushinkai Kan présidé par Franck Peretel montre que la discipline est loin d’être confidentielle et place de belle manière la cité médiévale de Bayeux (Calvados) sur le devant de la scène internationale.

S’ils sont habitués à combattre en Europe (Allemagne, Pologne, Espagne…), ses disciples vont cette fois se mesurer aux meilleurs mondiaux en Russie. À Moscou. « C’est une première, même pour moi », souligne Franck Peretel. Deux pays règnent sans partage sur le karaté Kyokushin : le Japon (où Masutatsu Ōyama a fondé l’école) et… la Russie. « Dans le top 8 mondial, on a 50 % de Japonais et 50 % de Russes ».

Une autre dimension

À Moscou, les Bayeusains vont entrer dans le temple du Kyokushin des moins de 18 ans. Et dans une autre dimension :

La Russie, c’est 2 millions de pratiquants (ils sont 20 000 en France, qui est certes un pays moins peuplé, ndlr). Sur place, la fédération russe paie toutes les dépenses !

1 700 compétiteurs fouleront les aires de combat du Russian Open Junior Cup. À un peu plus de 3 000 km de Bayeux, les sept guerriers du Team Basse-Nörmandie Kyokushin auront à cœur de défendre leur dojo, mais aussi la France.

« C’est une véritable fierté pour eux »

Les sept qualifiés pour le tournoi de Moscou viennent tous du dojo de Bayeux !

Les sept qualifiés pour le tournoi de Moscou viennent tous du dojo de Bayeux ! (©Collections Franck Peretel)

Eddy Dorsy (kumite et kata), Mathilde Chevalier (kumite et kata), Logan Cholot (kumite), Giovanni Brévini (kumite), Victorine Vieuxmaire (kata), Gwladys Schmit (kata) et Svetlana Peretel (kata) ont reçu le soutien de la commission nationale de karaté Kyokushin de la Fédération française de karaté et disciplines associées (FFKDA) en revêtant les survêtements de l’équipe de France. « C’est une véritable fierté pour eux », constate leur instructeur.Franck Peretel poursuit :

Ils ont pris conscience de ce que représente ce tournoi. C’est l’équivalent du championnat du monde, sans le titre. Au Japon, le mondial réunit 1 200 compétiteurs : autrement dit, cette coupe en Russie, c’est LE tournoi des jeunes.

Et les Bayeusains ne s’y rendent pas par hasard. « Au regard de leur palmarès des deux dernières années, ils ont eu l’accord du sélectionneur national pour participer à ce grand tournoi ».

Le niveau ultime

Seuls Français engagés, ils représenteront leur pays. Mais ; au-delà de ce rôle d’ambassadeurs, les élèves de Franck Peretel vont surtout découvrir le niveau ultime en termes d’opposition. « Des combattants comme Eddy Dorsy ou Logan Cholot ont déjà 4 années d’expérience à l’international. Mais pour les faire progresser encore, il faut qu’ils se mesurent aux meilleurs. Et ils seront en Russie ».

Dans un combat, tout est possible. Mais les espoirs de médailles sont relativement faibles pour les Français :

Le niveau est vraiment super élevé. J’espère que mes compétiteurs passeront tous au moins un tour.

Les meilleurs espoirs reposent sur Mathilde Chevalier (2e à la Coupe de France et championne de France 2019), sur Logan Cholot (3e à l’Open international de Pologne) ou encore sur Eddy Dorsy (1er à l’Open international de Bayeux et 3e en Pologne).

Des jeunes déterminés

Quoi qu’il arrive, ces jeunes montrent déjà une sacrée détermination. « On prépare ce tournoi depuis octobre 2019. J’ai imposé à tous les compétiteurs internationaux une heure de piscine tous les dimanches matin. Au début, ils ne voyaient pas le rapport. Mais la natation, c’est complet. Cela permet de bosser le cardio, le souffle, le renforcement musculaire… » Rappelons aussi que les jeunes qui combattent à l’international aident leur club à payer une part des déplacements. « Ils font des crêpes tout l’été depuis trois ans ! »

Montpellier : un week-end Apéro-Opéra au château de Flaugergues

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L'occasion de découvrir Chloé Chaume, l'une des sopranos les plus prometteuses de sa génération.

L’occasion de découvrir Chloé Chaume, l’une des sopranos les plus prometteuses de sa génération. (©Chloé Chaume)

Écouter de l’opéra, un verre à la main est chose possible. Les samedi 28 et dimanche 29 février, trois artistes féminines seront réunis dans le cadre bucolique du château de Flaugergues, à Montpellier, pour partager leur passion et leur art.

Un duo soudé

Chloé Chaume (soprano), Stéphanie Humeau  (piano) et Ahlima Mhamdi (mezzo) interprèteront des airs, mais aussi des duos d’opéras et d’opérettes célèbres. Si elles poursuivent leur carrière musicale en France et à l’étranger depuis plusieurs années, ces trois artistes conservent tout de même une grande complicité à la fois musicale, mais aussi amicale. 

Apéritif convivial 

Durant l’entracte, un apéritif sera proposé autour des vins du château. L’occasion de partager un moment de plaisir musical et gustatif, placé sous le signe de la convivialité et de l’amitié.

Un buffet avec des tapas salés et sucrés seront également servis.

> Pratique : les vendredi 28 et samedi 29 février à 18h, au château de Flaugergues. Les billets sont disponibles en prévente.  Plus d’information sur le blog du Château ou au 04 67 99 52 66 37.


Une patinoire et une piste de curling au centre commercial Cité Europe à Coquelles

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Une patinoire et une piste de Curling vont être installées au centre commercial Cité Europe de Coquelles (Pas-de-Calais) à partir de ce samedi 22 février 2020.

Une patinoire et une piste de Curling vont être installées au centre commercial Cité Europe de Coquelles (Pas-de-Calais) à partir de ce samedi 22 février 2020. (©Illustration/Pixabay)

Un souffle montagnard débarque au centre commercial Cité Europe de Coquelles (Pas-de-Calais) pour les vacances d’hiver. A partir de ce samedi 22 février 2020, une patinoire et une piste de curling seront notamment installées.

Lire aussi : Primark, Normal, Jennyfer… Nouvelles enseignes au centre commercial Cité Europe à Coquelles

Poussettes de glace

Les enfants et les parents auront ainsi le plaisir d’enfiler leurs patins et de profiter d’une patinoire de plus de 60 m2.

Pour répondre aux besoins de toute la famille, des patins allant du 27 au 47 seront mis à disposition des visiteurs. Pour les moins agiles, des patins double lame seront également proposés et des poussettes pour les plus petits », précise-t-on du côté du centre commercial.

Cette animation gratuite sera ouverte tous les jours (hors dimanche) de 14 h à 19 h devant l’enseigne Zara, pour les enfants à partir de 4 ans.

Les plus sportifs auront rendez-vous devant l’enseigne Go Sport, où une piste de curling les attendra. Les visiteurs pourront profiter de cette piste pour tester et découvrir ce sport assez peu connu dans la région.

Lire aussi : Lille. Quels magasins vont s’installer au centre commercial Lillenium ?

Animations gratuites pour les enfants

En parallèle de ces activités sportives, Cité Europe invite gratuitement tous les enfants dès 4 ans pour des ateliers créatifs sur le thème de la montagne.

Ils auront l’occasion de laisser parler leur créativité en décorant des boules de neige. Le rendez-vous est fixé devant l’enseigne Mango, tous les jours de 14 h à 19 h.

Neige, décors, patins et petite scène décorative plongeront petits et grands dans une ambiance inédite de station de neige. Chacun pourra se prendre en photo devant une borne à selfie au décor de télésiège. La borne photo sera située devant l’enseigne Mango, à côté de l’atelier créatif.

Les plus grands seront aussi gâtés puisqu’ils pourront remporter un séjour aux sports d’hiver* en
jouant sur les bornes de jeux situées dans le centre commercial.

La Rochelle : un incendie détruit une partie de la société Océan et bois

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L'incendie d'un véhicule dans l'entrepôt de 1800 m² serait à l'origine du sinistre.

L’incendie d’un véhicule dans l’entrepôt de 1800 m² serait à l’origine du sinistre. (©Corentin Cousin)

Il était 4h30 du matin ce jeudi 20 février quand 45 sapeurs pompiers du SDIS 17 sont intervenus pour un incendie au sein de la société Océan et bois située rue Robert Geffré à La Rochelle et spécialisée en aménagements intérieurs et extérieurs.

D’après les premières constatations, l’incendie est parti d’un des véhicules utilitaires de la société stationné dans l’entrepôt de 1800 m² avant de se propager à un autre véhicule et divers matériels stockés. Le sinistre a été maîtrisé en 20 minutes par les pompiers.

Deux véhicules ont été endommagés lors de l'incendie.

Deux véhicules et une partie du stock ont été endommagés lors de l’incendie. (©Corentin Cousin)

« Le contrôle technique du véhicule était bon », a déclaré, interloqué, Alain Bernicard, le directeur de la société qui s’est déplacé sur les lieux mais qui n’a pas encore pu évaluer les pertes pour son entreprise.

Interview. Pierre Izard stoppe sa carrière politique après 50 ans « au service des Villefranchois »

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Pierre Izard nous a accordé une interview dans laquelle il retrace plus de 50 ans de vie politique à Villefranche-de-Lauragais.

Pierre Izard nous a accordé une interview dans laquelle il retrace plus de 50 ans de vie politique à Villefranche-de-Lauragais. (©VDML – M.P.)

Souvenirs, anecdotes, regrets, fiertés mais aussi analyses… Pierre Izard, maire de Villefranche-de-Lauragais de 1971 à 2001, adjoint au maire puis conseiller municipal depuis cette échéance mais aussi ancien président du conseil général, fondateur de syndicat intercommunal, de l’ex-communauté de communes Cap Lauragais, actuel président du centre de gestion de la fonction publique territorial ou encore du syndicat départemental d’électricité… – et la liste est encore longue ! – se confie quant à sa décision de prendre sa retraite politique. Interview.

 

Vous n’êtes pas candidat pour les Municipales à Villefranche-de-Lauragais. Du coup, vous arrêtez votre carrière politique ?

En effet, en n’étant pas élu au conseil municipal j’arrête toutes mes fonctions. À mon âge, j’estime qu’il faut savoir laisser la place. Et je prône un renouvellement des instances par la jeunesse. C’est d’ailleurs une des raisons qui fait que j’apporte tout mon soutien à Valérie Roudet et ses colistiers pour ces élections.

Lire aussi : Municipales 2020 à Villefranche-de-Lauragais. Valérie Roudet présente ses colistiers

Donc vous soutenez la liste « Pour Villefranche, pour vous », menée par Valérie Roudet ?

En effet. Valérie est à la fois nouvelle et expérimentée. Il y a aussi le fait que ce soit une femme et je suis heureux, fier et content de participer à la promotion de la femme. C’est presque mon rôle de vétéran de montrer que les femmes sont aussi compétentes que les hommes. Je trouverai dommage que l’on vote pour un homme simplement pour ne pas voter pour une femme. Ensuite, il faut reconnaître qu’elle n’est pas âgée mais déjà très expérimentée par ses fonctions de conseillère municipale puis d’adjointe au maire. Valérie a rapidement appris et a su démonter ses qualités ainsi que son attachement à Villefranche. En étant à ses côtés durant toutes ces années au conseil municipal, je me suis aperçu qu’elle est très intéressée et investie et en même temps, elle a pu se plonger dans la vie associative. Elle a fait ses preuves, bravo ! Et puis il y a aussi le fait qu’elle défend les mêmes valeurs que moi : la justice, le lien social, la lutte contre la pauvreté – cette notion de fossé entre les plus riches et les plus pauvres. C’est la même chose à Avignonet-Lauragais pour Isabelle Haybrard Danieli. C’est un peu philosophique comme soutien mais il est vrai que je suis heureux qu’il y ait des femmes en politique.

 

Vous avez été élu pendant près de 50 ans à Villefranche-de-Lauragais. Quelles sont vos plus grandes fiertés ?

En tant que maire, je suis content d’avoir participé à la modernisation de Villefranche, à son augmentation de population, à améliorer la qualité de vie… Mais, il y a deux réalisations que j’ai pu pousser, au niveau économique et sociologique et qui me satisfont presque. La première, c’est d’avoir réussi à imposer, au moment de la création de l’A61, l’installation de l’échangeur autoroutier à Villefranche. Et la seconde, c’est la reconnaissance de Villefranche comme centre du Lauragais a travers l’obtention auprès de la Région, et tout particulièrement de Martin Malvy, de la construction d’un lycée à Villefranche.

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On sent bien que Villefranche est pour vous quelque chose d’important…

Je suis né à Villefranche et je mourrai à Villefranche. J’ai un attachement à cette commune qui est viscéral. J’ai passé près de 50 ans au service des Villefranchois, c’était un plaisir et c’était surtout quelque chose de naturel. Mon père était médecin à Villefranche. Dès que j’ai été en première année de médecine, mon père répondait aux gens qui venaient le voir en consultation  » Ne t’inquiète pas, Pierrot s’occupera de toi ». Alors je me suis occupé des Villefranchois. Ça n’a pas été une charge mais un plaisir. Et puis il faut avouer que j’avais leur reconnaissance et leur confiance. La première année où je n’ai plus eu d’examens de médecine à passer, j’ai eu mes premières élections. Quand j’ai été élu la première fois, je me rappelle que les gens m’ont transporté sur leurs épaules dans la grand-rue et ont dit :  »maintenant, tu es à notre service. » Ensuite, j’ai passé 30 ans à être élu au premier tour. En fait, j’ai un attachement inévitable avec plusieurs générations de Villefranchois.

 

En 50 ans de politique à Villefranche quelles sont les choses qui vous ont « chagriné » ?

Quand on est un homme politique, on est chagriné… Mais je n’ai pas vraiment de regrets… Je ne sais pas quoi vous répondre… Mais je pense que je peux parler du fait que nous avons l’avantage et l’inconvénient d’être proche de Toulouse. L’expansion économique de Villefranche est basée inévitablement sur l’artisanat plus que sur la grosse industrie. Alors je crois qu’il y a une chose qui m’a inquiété en effet et qui m’inquiète toujours : Nous n’avons pas la puissance de feu pour supporter trop de grandes surfaces. Il y en a une de trop. Cela s’est fait au détriment de la rue de la République, ce que je déplore. Aujourd’hui, je suis inquiet de voir le centre-ville perdre de sa vitalité. Ce petit supermarché qui faisait qu’il y avait du monde en centre-ville le dimanche a fermé et c’est bien dommage. La vie commerciale du centre-ville était importante avant tout cela. Et elle ne l’est plus… Cette fermeture a découlé de l’ouverture d’une grande surface, contre les avis du maire et d’élus locaux, dont je faisais partie. Cela a été un coup grave pour la vie économique de Villefranche. Je me suis attaché à essayer de garder le plus possible les équipements publics : la perception, EDF…. Notre zone d’activité commerciale est remplie, la zone artisanale est remplie. Les médecins, ça marche bien, l’Ehpad aussi est très bien… J’ai tout fait pour favoriser l’implantation d’installations médicales et paramédicales mais il y a encore des choses à faire. Mais au niveau commercial, il y a eu une erreur profonde. Je reviens d’ailleurs un peu sur le lycée. Il a donné une nouvelle dimension à tout le Lauragais, pas qu’à Villefranche. Et avec une implantation dans le canton, d’une population plus jeune. Avant, dans le canton, on disait :  »Je suis à la retraite, je quitte mon village pour m’installer à Villefranche et me rapprocher des médecins et des pharmacies ». Aujourd’hui, on touche en plus de cela, plus de familles et donc une population beaucoup plus jeune. Et ça vaut pour le canton. Vous vous rendez compte la chance de pouvoir faire sa scolarité près de chez soi jusqu’au bac ?

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Comment imagineriez-vous Villefranche dans 50 ans soit 100 ans après votre première élection ?

Tout d’abord on va arriver à saturation. Parce que Villefranche, c’est 900 hectares et que nous n’avons plus beaucoup de terrains disponibles pour construire des lotissements et que nous n’avons quasiment plus d’agriculture sur la commune. Nous allons donc devenir plus que jamais un peu la banlieue toulousaine. Si ce n’est que nous avons peut-être négligé quelque chose au niveau départemental. Nous avons une industrie monolithique – qu’est l’aérospatiale – que nous n’avons pas su, que nous n’avons pas pu ou que nous n’avons pas réussi à diversifier. Il y a aussi, sur le plan de l’emploi, la troisième catégorie, c’est-à-dire les hôpitaux. Ou encore le conseil général… Mais nous n’avons pas diversifié assez l’industrie, sur le plan départemental…

Lire aussi : Beaucoup d’émotions pour la dernière cérémonie des vœux du maire de Villefranche-de-Lauragais

 

Scission à Terres du Lauragais. Le point de vue de Pierre Izard

Trois ans après la création de Terres du Lauragais, nous avons demandé à Pierre Izard, vice-président, ce qu’il pensait de cette fusion des ex-communautés de communes Cœur Lauragais, CoLaurSud et Cap Lauragais.

Lire aussi : Terres du Lauragais : 20 communes prêtes à engager un processus de scission de l’intercommunalité

« J’avais créé le Sivom et ensuite Cap Lauragais, des intercommunalités à taille humaine », explique tout d’abord Pierre Izard. Et son plus gros regret aura donc sûrement été le fait que cette fusion ait été imposée :

«J’étais réticent car cela a été lancé sans concertation, sans dialogue et sans coopération et a abouti à une fusion imposée pour de plus grandes intercommunalités. La dernière consultation, s’est faite dans un mauvais climat. Trop vite, sans étudier les choses et dans la précipitation. Et c’est un échec. Même sur le plan départemental, surtout avec la main mise de la Métropole et le fait que le Département lui-même est haché menu.

Et ses craintes d’hier sont même encore plus fortes aujourd’hui. Il poursuit :

 Malheureusement, je reste persuadé qu’après les Municipales, ça ira encore au-delà, que Macron va imposer des regroupements de communautés de communes avec 80 000 voire 100 000 habitants. Aujourd’hui, l’intercommunalité n’a plus de taille humaine. Inévitablement on travaille mal. Cela s’est fait à marche forcée, ça va trop vite, il n’y a pas de réflexion générale.

Et le souhait de certains élus de quitter Terres du Lauragais est, pour le vice-président, quelque chose d’entendable :

 Je comprends la rancœur, la colère et le désir de sortie de l’intercommunalité de cette vingtaine de maires. Il faut accepter l’idée que nous revenions à des regroupements à taille humaine qui prennent en compte le fait de travailler ensemble dans la concertation et non à marche forcée.

 

Cotentin : un élevage de chiens Saint-Bernard va participer au Salon de l'agriculture

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L'élevage canin, «Les montagnes ensablées» présentera devant les  juges ses saint-Bernard.

L’élevage canin, «Les montagnes ensablées» présentera devant les juges ses saint-Bernard. (©La Presse de la Manche )

Tout le monde reconnaît la Normandie comme terre d’élevage, mais il n’y a pas que l’élevage agricole. À l’intérieur des terres se trouvent d’autres trésors comme l’élevage canin Les montagnes ensablées, installé à Fierville-les-Mines.

Lire aussi : Manche : Les renards de plus en plus attirés par la ville

Cet élevage familial élève des Saint-Bernard depuis de nombreuses années. Le couple Christelle Moulin et Yoann Mellet est passionné par ce gros nounours au grand cœur depuis 2003, par cette race géante mise à l’honneur jusque sur les grands écrans, en particulier avec le film Beethoven.

Troisième participation

Ce sera la troisième fois que le couple participe au Salon de l’agriculture. En 2017, avec Gump, il avait obtenu un deuxième prix en lot reproducteur. Lors du salon qui se déroule à Paris du 22 février au 1er mars, cinq chiens de l’élevage seront présentés aux juges lundi 24 février.

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Le couple, dont ce n’est pas le métier principal, y retrouvera d’autres éleveurs de la région.

Dans l’élevage familial, les chiens vivent avec Christelle et Yoann dans leur vie de tous les jours, en totale liberté, pour une parfaite sociabilité et pour leur plus grand bonheur.

Les chiots naissent sous surveillance, en famille dans la maison, habitués aux bruits et manipulés avec tendresse depuis leur plus jeune âge, pour une meilleure intégration dans leur nouveau foyer. Souhaitons que ce 57e salon porte chance à nos éleveurs manchois.

Yvelines. Centre d'entraînement du PSG à Poissy : le club lance un appel aux entreprises locales

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Les entreprises locales intéressées pour proposer leurs services en vue de la construction du centre d'entraînement du Paris Saint-Germain ou de son exploitation une fois construit, sont invitées à se faire connaître dans l'espace dédié du site Internet du projet.

Les entreprises locales intéressées pour proposer leurs services en vue de la construction du centre d’entraînement du Paris Saint-Germain ou de son exploitation une fois construit, sont invitées à se faire connaître dans l’espace dédié du site Internet du projet. (©Wilmotte & associés)

Le centre d’entraînement (Training center) du Paris-Saint-Germain verra le jour à Poissy (Yvelines) d’ici le 1er juillet 2022. Les travaux devraient démarrer après le 20 mars, au terme des fouilles archéologiques en cours et programmées jusqu’à cette date.

Dans un communiqué, le club affirme sa volonté « de s’appuyer sur les compétences locales dans le cadre de la construction et de l’exploitation du PSG Training center ».

Dans ce but, le Paris Saint-Germain vient de lancer un espace dédié aux entreprises sur le site Internet dédié au projet. L’objectif :

Permettre aux entreprises locales de signaler leurs expertises ou compétences » et ainsi « recenser les ressources présentes sur le territoire et constituer un vivier d’entreprises auxquelles le club et les opérateurs nationaux, garants de la bonne conduite du chantier, pourront faire appel ».

Premiers domaines identifiés

Le club fait savoir qu’il croisera « ses besoins avec ce listing pour évaluer les synergies possibles » et mettra en partage « ses conclusions avec les groupements et opérateurs locaux ».

Les premiers domaines identifiés par le club sont les suivants : 1. Travaux (espaces verts, terrassement voirie, réseaux divers), 2. Maintenance (management des installations du site), 3. Prestations de service (restauration, gardiennage, gestion des vergers, zone maraîchère, etc.), 4. Expertises spécifiques (entretien des terrains, etc.).

Le Paris Saint-Germain est en pleine organisation du chantier de son futur Training center et définit en parallèle, les conditions d’exploitation de son futur centre d’entraînement. »

Pratique : les entreprises localisées à Poissy et ses alentours peuvent s’enregistrer en décrivant leur activité et en laissant leurs coordonnées à l’adresse suivante : https ://trainingcenter.psg.fr/espace-entreprises

Municipales 2020 à Argentré-du-Plessis : voici les noms de la liste Elan 2020

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Thierry Ildebert, Françoise Gesland, Denis Veré, Cécile Michel, Anthony Meneust, Nadège
Martel, Jacques Madeline, Christopher Bellier, Laurence Raveneau, Christian Hamelot, Joseph Gallais, Alain Anger, Rémi Posson, Olivier Pasquet, Martine Veré, Christian Martin, Mireille
Chauvineau, Pierre Hurault, Bertrand Désille, Christophe Haquin, Louise Travers, Christopher Bellier et Léa Gendry. Absentes sur la photo : Irmine Delagrée, Martine Foucher, Vanessa Gautier, Balbine Danzanvilliers et Maiwen Kervoel

Thierry Ildebert, Françoise Gesland, Denis Veré, Cécile Michel, Anthony Meneust, Nadège Martel, Jacques Madeline, Christopher Bellier, Laurence Raveneau, Christian Hamelot, Joseph Gallais, Alain Anger, Rémi Posson, Olivier Pasquet, Martine Veré, Christian Martin, Mireille Chauvineau, Pierre Hurault, Bertrand Désille, Christophe Haquin, Louise Travers, Christopher Bellier et Léa Gendry. Absentes sur la photo : Irmine Delagrée, Martine Foucher, Vanessa Gautier, Balbine Danzanvilliers et Maiwen Kervoel (©Elan 2020)

Elan 2020 a communiqué les noms de sa liste aux élections municipales à Argentré-du-Plessis. Voici les 27 visages de la liste de Christian Hamelot.

Lire aussi : Municipales 2020 à Argentré-du-Plessis : Christian Hamelot est tête de liste chez Elan 2020

Nous faisons le choix de présenter 29 candidats comme nous le permet la loi. La moyenne d’âge est de 52 ans, la plus jeune a 18 ans et le plus ancien 72 ans. »

La liste dans l’ordre officiel

  • Christian Hamelot. 55 ans, architecte urbaniste.
  • Laurence Raveneau. 53 ans, commerçante.
  • Christian Martin. 65 ans. Retraité et ancien DRH.
  • Irmine Delagrée. 55 ans, enseignante.
  • Pierre Hurault. 72 ans, directeur technique retraité.
  • Martine Veré. 65 ans, responsable logistique à la retraite.
  • Bertrand Désille. 53 ans, chargé d’affaires.
  • Caroline Besnouin. 49 ans, acheteur.
  • Rémi Posson. 59 ans, responsable méthodes.
  • Françoise Gesland. 52 ans, architecte.
  • Olivier Pasquet. 54 ans, expert-comptable.
  • Mireille Chauvineau. 46 ans, animatrice de ligne.
  • Christophe Haquin. 55 ans, artisan couvreur.
  • Martine Foucher. 55 ans, employée de commerce.
  • Anthony Meneust. 45 ans, cadre commercial.
  • Louise Travers. 18 ans, étudiante.
  • Christopher Bellier. 58 ans, agriculteur.
  • Léa Gendry. 19 ans, étudiante.
  • Thierry Ildebert. 54 ans, chauffeur de car.
  • Nadège Martel. 40 ans, commerçante.
  • Jacques Madeline. 62 ans, électricien en retraite.
  • Cécile Michel. 46 ans, technicienne principale des services vétérinaires.
  • Alain Anger. 64 ans.
  • Balbine Danzanvilliers. 55 ans, professeur des écoles.
  • Joseph Gallais. 70 ans, artisan peintre en retraite.
  • Maiwen Kervoel. Responsable service retours/garanties.
  • Denis Veré. 64 ans, ingénieur chef de projet R & D.

La liste « Tous pour Vimoutiers » de Sébastien Gourdel ouvre son local

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Le local de campagne de la liste Tous pour Vimoutiers est ouvert

Le local de campagne de la liste Tous pour Vimoutiers est ouvert (©Le Réveil normand)

Le local de campagne de la liste « Tous pour Vimoutiers », conduite par Sébastien Gourdel pour les élections municipales de mars 2020 est situé au numéro 5 de la place de Mackau à Vimoutiers (Orne).

C’est un lieu de travail pour l’équipe mais pas seulement puisque chaque jour des permanences seront tenues, en plus des jours de marché ».

Le local sera ouvert du lundi au samedi à partir de 11 h, puis de 17 h à 18 h, ainsi que le dimanche matin à partir de 11 h.

« Nous répondrons aux questions des gens sur notre programme et les invitons à nous partager leurs suggestions et propositions ». Une consultation est en ligne sur le site internet de l’équipe « et nous disposons d’une boîte aux lettres où les Vimonastériens peuvent y déposer les questionnaires ».

Deux réunions publiques seront tenues, mais pour l’heure, les dates ne sont pas encore fixées.


Municipales 2020 à Paris : les sondages « ne donnent aucune indication de qui sortira vainqueur »

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Les élections municipales de Paris se jouent par arrondissements, 17 scrutins sur lesquels les instituts de sondage ne planchent pas.

Les élections municipales de Paris se jouent par arrondissements, 17 scrutins sur lesquels les instituts de sondage ne planchent pas. (©Ville de Paris)

Que disent les sondages pour les élections municipales à Paris ? Comment les interpréter ? Ceux-ci ne font pas état des différences entre les arrondissements de la capitale, où 17 élections se joueront en mars avant l’élection du maire central. Si les instituts font de leur mieux, ils ne s’engagent pas dans un pronostic final, la bataille étant trop dispersée.

« Personne ne peut gagner Paris seul »

Rachida Dati à 25 % avec Les Républicains et derrière elle, la maire socialiste sortante, Anne Hidalgo avec 23 %. C’est le résultat du sondage Odoxa publié le 19 février dans Le Figaro, premier à mettre la candidate de droite en tête. En réaction, Cédric Villani assène au Parisien une évidence post big-bang LREM : « Personne ne peut gagner Paris seul. »

Lire aussi : Municipales 2020 : Agnès Buzyn remplace Benjamin Griveaux comme tête de liste LREM à Paris

Il renvoie au troisième tour pour une alliance. Quèsaco ? À Paris, l’élection se joue par arrondissement pour les deux premiers tours, au suffrage universel direct. Le maire de la ville est élu au troisième tour par les conseillers de Paris élus précédemment, au suffrage universel indirect. Et les instituts de sondage ne s’aventurent pas jusque-là.

Lire aussi : VIDÉO. Municipales 2020 à Paris : comment fonctionne l’élection par arrondissement ?

« Il faudrait faire 17 sondages, ça coûte 17 fois plus cher »

Tous les sondages publiés répondent à la même méthodologie : un échantillon représentatif de la population par quotas de sexe, d’âge et de profession. Critère bonus : une « stratification par arrondissement » peu claire aux non-initiés.

Bruno Jeanbart, directeur des études politiques de l’institut OpinionWay, explique à actu Paris :

On interroge au prorata de la population par arrondissement, ça nous permet d’être représentatifs sur l’ensemble de la ville. D’autres instituts regroupent les arrondissements : ouest, est…

Pour être précis, « il faudrait 17 sondages, ce qui coûte 17 fois plus cher », explique le spécialiste. Trop cher pour les commanditaires des sondages publiés dans la presse. Des enquêtes « confidentielles » sont réalisées pour des clients, souvent des candidats qui souhaitent avoir une idée de leurs chances.

« Les sondages donnent une indication du rapport de force »

Ce qui fait dire aux candidats dans les arrondissements que « les sondages ne donnent que des tendances » et « n’indiquent rien du résultat final », selon deux candidats du 18ème arrondissement interrogés. Bruno Jeanbart confirme :

Les sondages donnent une indication du rapport de force dans la ville, mais ils ne donnent aucune indication du maire qui sortira vainqueur.

OpinionWay est, depuis septembre 2019, le seul institut de sondage à s’appuyer sur un panel de sondés élargi. Quand la moyenne tourne autour de 1 000 personnes interrogées, OpinionWay a recueilli près de 3 000 réponses. L’institut est aussi le seul à éclairer sa « stratification par arrondissement ». Contactés, l’Ifop et Odoxa n’ont pas répondu.

Lire aussi : VIDÉO. Pourquoi actu Paris couvrira les élections municipales depuis le 18ème arrondissement

Malgré la stratification, Bruno Jeanbart estime que « les hypothèses sur deux tours n’ont aucun sens ». L’explosion du modèle gauche-droite fragilise les prévisions : « Il y aura des triangulaires, voire des quadrangulaires. Dans certains arrondissements, Cédric Villani se maintiendra, dans d’autres, ses listes n’iront pas au second tour. » Il faut 10 % des suffrages exprimés.

« Un groupe pourra être le premier au conseil sans avoir la mairie »

Les sondages réalisés envisagent des alliances, impossibles pour l’instant à affiner. Les Verts iront-ils avec le PS ou avec Cédric Villani ? LREM se rapprochera-t-il de la droite ? « Il est probable que trois camps différents gagnent des arrondissements, contre deux avant, donc l’élection ne se jouera qu’au troisième tour avec la question des alliances », estime Bruno Jeanbart.

Ce qui donnera de l’enjeu à l’habituel « faux troisième tour » : « Un groupe pourra être le premier au Conseil de Paris sans avoir la mairie. » Si le bloc de gauche était plus important, une coalition de droite pourrait gagner la ville, et inversement.

« C’est totalement baroque de ne pas pouvoir choisir son maire », juge Bruno Jeanbart. Lyon et Marseille vivront, avec Paris, la même situation. Pour lui, peu de doute : « On va se rendre compte cette année de l’absurdité de ce système. »

Lire aussi : Candidats, sondages, nouveautés, fonctionnement : le guide des élections municipales à Paris

La Métropole expérimente le TER gratuit pour les abonnés TBM

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Le TER 42 gratuit pour les abonnés TBM

Le TER 42 gratuit pour les abonnés TBM (©wikipedia)

A partir du lundi 24 février prochain, les usagers de la ligne de TER 42, sur le tronçon Parempuyre-Bordeaux Saint-Jean ou Parempuyre-Pessac pourront embarquer dans leur train gratuitement, à condition de posséder un abonnement TBM.

Lire aussi : Bordeaux : le tram D arrive enfin à Eysines

Le coût de ce dispositif sera entièrement pris en charge par la Métropole, qui a orchestré l’opération avec le concours de TBM et de la SNCF.

Un an renouvelable 

Cette expérimentation, menée dans le cadre de la future mise en place d’un RER métropolitain, devrait se poursuivre pendant un an.  « Mais elle pourrait tout à fait être reconduite à l’issue de cette année », précise la Métropole.

Val-d'Oise. Municipales : Yves Kerscaven, cap sur la succession à Ezanville

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Yves Kerscaven est candidat aux municipales à Ezanville (Val-d'Oise).

Yves Kerscaven est candidat aux municipales à Ezanville (Val-d’Oise). ©Yves Kerscaven

Yves Kerscaven avait déjà tenté de se présenter en 2014, lorsque le maire (Lr), Alain Bourgeois avait annoncé ne pas briguer un nouveau mandat, pour finalement se représenter.

Il profite désormais d’une campagne de succession pour tenter d’accéder au fauteuil de maire.

Ancré à Ézanville, il y a vingt-six ans, le candidat se définit comme « un élu de terrain plus que de représentation ».

Ayant des affinités avec la droite et le centre, sa formation s’affiche sans étiquette.

Il a constitué une équipe, alors que la majorité actuelle s’est ralliée en nombre à un autre adjoint, qui a la faveur du maire en place.

Il a, tout de même, été rejoint par quelques ténors de l’actuel groupe municipal avec lesquels il espère pouvoir relancer la Ville.

Il dit ainsi vouloir « corriger le tir » à propos de l’insécurité en renforçant la vidéosurveillance et en augmentant les effectifs de la police municipale, actuellement constituée de deux agents, nombre insuffisant pour une commune urbaine.

Marché 2.0

Autre souhait du candidat, le « sauvetage de la Zac », parc d’activité qui dépérit.

Il voudrait aussi préserver le marché local en l’associant à une application mobile, qui permettrait de précommander des articles à retirer sur les étals.

Dans ses grands projets, il a déjà travaillé sur l’aménagement du pôle gare.

Il appuie ce chantier sur les précieuses compétences de son colistier Sébastien Deleyrolle, cadre à la Sncf.

« Ce quartier serait complété par un point d’accueil des enfants, à proximité de la gare », envisage Yves Kerscaven dans ce secteur de la ville.

Nuisances

S’il n’est pas contre à la réalisation du Terminal 4, il est tout de même soucieux du confort des riverains de l’aéroport de Roissy-Cdg et il milite pour un couvre-feu, comme il en existeun à Orly.

Il est, pourtant, opposé à intégrer Ézanville dans le Pgs (Plan de gêne sonore), « ce qui dévaluerait le patrimoine privé de la commune », souligne-t-il.

Autres nuisances, celles olfactives des abattoirs installés dans la commune.

Il ne manque plus de rappeler leur exploitant « au respect des obligations qui lui sont imposées ».

Le bien-être quotidien des habitants est de ses préoccupations.

Il verrait bien se développer un espace vert reliant Moisselles à Ézanville « par une liaison douce pédestre et cyclable ».

La mobilité pour tous fait partie de son programme, notamment à destination des jeunes administrés.

« Un espace d’évolution sportive en libre accès », serait aussi étudié, équipement qu’il associerait à « un espace qui permettrait un échange entre des seniors et des écoliers, notamment par l’aide aux devoirs ».

Autant de sujets qu’il a relevés auprès des habitants lors de ses nombreux échanges avec la population. Il a déjà chiffré ses projets et sait aussi comment il les financerait, en s’appuyant sur la gestion saine de la commune.

Affaire Elisa Pilarski : les analyses ADN trop chères pour la justice ?

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Curtis, l'american staff d'Elisa Pilarski aurait mordu à deux reprises depuis le 16 novembre.

Les prélèvements ADN réalisés pour identifier les chiens responsables de la mort d’Elisa Pilarski n’ont toujours pas été envoyés au laboratoire. (©DR)

Les circonstances de la mort d’Elisa Pilarski, cette jeune femme enceinte de 29 ans, tuée le samedi 16 novembre 2019 à la suite de multiples morsures de chiens en forêt de Retz (Aisne), restent inconnues.  

Lire aussi : Affaire Elisa Pilarski : la juge d’instruction sur les lieux du drame avec les principaux témoins

Afin d’identifier les animaux responsables, des prélèvements génétiques avaient été effectués sur 67 chiens : les cinq American Staffordshire d’Elisa Pilarski et 62 chiens appartenant à l’association « le Rallye la passion » organisatrice d’une chasse à courre qui se déroulait au même endroit. 

Les résultats devaient être connus fin février, trois mois après les faits. Mais selon une information de France Info, les prélèvements n’ont toujours pas été envoyés au laboratoire. La justice a jugé le coût des analyses trop élevé.

Lire aussi : Elisa Pilarski tuée par des chiens : les circonstances de sa mort selon son compagnon Christophe Ellul

Des analyses trop chères

Les prélèvements sont restés « dans les placards de l’identité judiciaire », en attendant d’être acheminés dans un laboratoire privé. 

Les analyses coûteraient plus de 100 000 euros. 

La juge d’instruction en charge du dossier, à Soissons, ainsi que les enquêteurs de la Police Judiciaire (PJ) de Creil (Oise) ont demandé un autre devis à un laboratoire concurrent.   

Départ en retraite de Chantal Beaudet à l'école de Saint-Mars-d'Egrenne

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L'équipe enseignante, Élise Dupin et Chantal Beaudet.

L’équipe enseignante de l’école de Saint-Mars-d’Egrenne (Orne), Élise Dupin et Chantal Beaudet. (©Le Publicateur Libre)

C’est en 1986 que Chantal Beaudet est embauchée en tant qu’agent technique territorial par Charles Bancourt. Elle encadre les garderies des enfants des écoles de Passais-la-Conception. En 1999, concours d‘ATSEM en poche, elle porte main-forte à l’équipe d’enseignants auprès des élèves de maternelle. En 2008, elle rejoint l’école de Saint-Mars-d’Egrenne.

Lire aussi : Orne. Plombier et chauffagiste, Alexandre Lami crée son entreprise à Saint-Mars-d’Egrenne

Vendredi 14 février, les enseignantes du site, les élus locaux et départementaux, les membres de l’APE se sont réunis pour souhaiter une heureuse retraite à « Madame Beaudet » comme l’appellent les enfants. Et des enfants, elle en a croisé en 34 ans de carrière !

Je retrouve aujourd’hui des parents que j’ai eus enfants à la maternelle

Le maire Daniel Boulent a donc souhaité une heureuse retraite à Chantal Beaudet « L’heure de la grande récréation a sonné, l’école est finie ».

Chantal Beaudet profitera de son temps libre pour s’occuper davantage de ses 6 petits-enfants et pratiquer la marche et le vélo.

Sa remplaçante

Depuis le 10 février, Élise Dupin marche dans les traces de Chantal Beaudet. Native de Domfront, Élise a pu exercer son métier d’ATSEM sur la Communauté de communes de Tinchebray sur 6 écoles différentes. À 29 ans, ce poste lui permet de moins être sur la route et d’organiser plus facilement ses journées. On ne peut lui souhaiter qu’une aussi longue carrière que Chantal Beaudet.

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