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Laval : les travaux du restaurant scolaire de la Senelle sont terminés

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Les enfants dansent à l'occasion de l'inauguration du nouveau restaurant scolaire de l'école de la Senelle à Laval.

Les enfants dansent à l’occasion de l’inauguration du nouveau restaurant scolaire de l’école de la Senelle à Laval. (©Le Courrier de la Mayenne)

Les 110 enfants de l’école élémentaire et les 75 enfants de l’école maternelle de la Senelle à Laval vont désormais pouvoir déjeuner dans de meilleures conditions. Les travaux du restaurant scolaire sont terminés. Le nouvel espace a été inauguré lundi 10 février 2020.

« Cette nouvelle cuisine, cela va transformer notre travail, reconnaît Véronique Riauté, agent de restauration. Fonctionner dans du neuf, c’est beaucoup plus convivial pour tous. »

Une meilleure isolation acoustique et thermique

Ludovic Robin, responsable des cantines scolaires de Laval, est aussi très satisfait de cette rénovation.  « Les enfants vont profiter de deux salles de restauration, construites aux nouvelles normes d’isolation aussi bien pour l’acoustique que pour la température. Ces deux salles distinctes, séparées par des placards de rangement, très fonctionnelles, sont une très bonne idée. »

L’école de la Senelle fait l’objet d’une rénovation très importante. Pour l’espace restauration, tout le mobilier, les cuisines, les portes et les fenêtres ont été remplacés. Et l’ensemble des locaux, isolés. Au cours du mois d’avril, un ascenseur sera en fonction.

 


Fédérale 1. US Marmande: le plus dur reste à faire

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Le talonneur Brian de Carvalho et ses partenaires voudront faire oublier leur premier faux pas enregistré devant Nantes à Dartiailh.

Le talonneur Brian de Carvalho et ses partenaires voudront faire oublier leur premier faux pas enregistré devant Nantes à Dartiailh. (© Le Républicain: Dominique Empociello)

La qualification se joue en sept actes d’ici le 19 avril. Faire front et aller à la guerre, c’est dans cet esprit que l’USM sera en mesure de décrocher son billet… Au-delà de faire un sans faute à Dartiailh, il lui est impératif de sortir gagnante lors d’au moins deux sorties. Le parcours de combattant débute samedi à Nantes.

Menacé d’une relégation administrative pour raison financière, le Stade Nantais en avait échappé la saison dernière. Après avoir accepté d’être accompagné dans son redressement par un plan imposé par la DNACG, le club de Loire-Atlantique avait été pénalisé de 5 points au classement, ce qui ne l’avait pas empêché de participer aux huitièmes de finale du Challenge Yves-du-Manoir

Des « éléphants » à la peau dure

A l’instar de Vannes et de Rouen, le Stade Nantais, disposant d’infrastructures professionnelles, aspire, à moyen terme, à se hisser en Pro D2. Demi-finaliste de Fédérale 2, il évolue en élite amateur depuis la saison 2016-2017. Pour sa quatrième saison à ce niveau, son budget est de l’ordre de 1,8 ME.

Nantes aligne un effectif de qualité: le pilier géorgien Saba Kartvelishvili, le Tongien Haisini Taulanga (3e ligne), 34 ans, ex-pro du Stade Montois, Frédéric Barrais (3e ligne), le Géorgien Tsukhishvili, deuxième ligne, recruté à Trélissac en juin 2018, le demi de mêlée Morgan Le Bourhis, l’ouvreur-buteur Sylvain Bouillon (ex-pro d’Albi), et l’arrière Pierrick Belleteste (14 essais l’an passé)…

Au match aller, l’US Marmande n’avait pas quitté les vestiaires, totalement absente des débats (17-28), à Dartiailh. Spectatrice, elle avait regardé jouer son adversaire, en dépit d’une réaction en seconde période, perdant tout de même le bénéfice d’un bonus défensif dans les dernières secondes.

A sa décharge, elle était amputée de joueurs majeurs: Marco Kotze, Jovelian de Koker (blessés), Gauthier Barès et Thomas Germain (suspendus). Le dernier non remis d’une blessure, les trois premiers seront par contre du voyage pour ce match retour.

Les « éléphants » nantais (4e) sont bien partis pour se qualifier, s’ils maintiennent leur régularité affichée depuis le début de la saison. Leur parcours à domicile est linéaire: 7 succès en autant de match. Dimanche dernier, ils remettaient à jour sans coup férir leur calendrier, en atomisant Bergerac. Leurs « perfs » à l’extérieur (à Marmande et à St-Jean-de-Luz), leur solidité défensive, prouvent leur détermination.

Repoussés à cinq points des Stadistes, les Marmandais voient leur infirmerie désemplir. La dernière ligne droite ne sera pas des plus faciles avec à peine deux réceptions (Tyrosse le 23 février et Bassin d’Arcachon le 15 mars) et… cinq déplacements: Nantes donc prochaine journée (samedi 15, à 18h), puis Cognac, Anglet, Niort, Dax.

Objectif: deux « perfs » à l’extérieur

Ouille que du costaud en perspective, que des rivaux luttant pour un objectif particulier. Selon le manager Franck Tauzin, «quatre victoires pourraient suffire pour se qualifier. Ça peut passer tout en étant tributaires des autres résultats. Tant qu’il y a une possibilité de le faire, on va se la donner. Notre poule, sans promus, est très compacte. Ça relève l’intérêt de ce championnat. On n’occulte aucun match. Partout où on ira, c’est dans l’intention de briguer une victoire. L’enjeu en vaut la peine. Les regrets causés par les courts échecs à Tyrosse et à Trélissac sont derrière. Regardons devant! En ayant battu Bergerac et Rennes, on a fait en sorte de garder le contact avec les équipes de milieu de tableau…»

Le calendrier est comme il est. Désavantageux, mais après tout l’espoir fait vivre, tant que l’USM persiste à résister aux meilleurs de la poule. Sa progression dans le contenu de son jeu est avérée. Défensivement, quand tout le collectif est au diapason, elle a démontré qu’elle était en mesure de tenir la baraque sur de longues séquences. Un point essentiel, réconfortant.

Intensifier le rythme

Pendant la trêve de trois semaines, les coaches devaient durcir les séances d’entraînement. «Se mettre en situation d’opposition telle que dans les matches afin d’intensifier le rythme, les contacts», concède « Titou » Tarozzi, responsable des lignes arrières. Au plan physique, le groupe est bien. En revanche, la gestion dans les moments délicats atteste d’un manque de maturité. Il faut absolument gommer ces petits défauts, éviter de se mettre en porte-à-faux.

Depuis septembre, le jeu de l’USM a pris plus d’épaisseur. Globalement, de très bonnes choses ont été réalisé. Crescendo, il s’agit à présent d’élever encore le niveau. Le potentiel existe. Les joueurs en ont pris conscience. Allez, c’est le moment de s’arracher, d’y croire.

Jackpot de la Saint-Valentin : un joueur de Saône-et-Loire remporte 13 millions d'euros

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Un joueur de Saône-et-Loire a gagné 13 millions d'euros en jouant au super loto de la Saint-Valentin.

Un joueur de Saône-et-Loire a gagné 13 millions d’euros en jouant au Super loto de la Saint-Valentin. (©Illustration/Pixabay)

Jackpot ! Le tirage du Super Loto de la Saint-Valentin vendredi 14 février 2020 a fait un heureux : un joueur de Saône-et-Loire a remporté la totalité des gains, soit la somme de 13 millions d’euros

Il s’agit du deuxième plus gros gain remporté dans le département depuis 1976. Le record de gain en Saône-et-Loire est toujours détenu par un joueur de Chalon-sur-Saône qui, en novembre 2008, avait remporté 15 millions d’euros à l’Euromillions.

Lire aussi : Vendée : un gain record de 9 millions d’euros au Loto hier soir

Le vainqueur toujours inconnu

Pour remporter le jackpot de ce tirage Super Loto, il fallait avoir coché les numéros suivants : 5-10-23-27-28 et le n° Chance 10, fait savoir Tirage-gagnant.com 

Pour l’heure, le vainqueur ne s’est pas manifesté. Il a 60 jours pour récupérer son gain à Boulogne-Billancourt dans les locaux de la FDJ. Et c’est à l’issue du paiement que de plus amples informations seront dévoilées.

Municipales 2020 : aucune présentation complète de liste dans l'Éveil de Pont-Audemer daté du 10 mars

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L'Eveil de Pont-Audemer a mis en place quelques règles à destination des candidats

L’Eveil de Pont-Audemer a mis en place quelques règles à destination des candidats (© photo d’illustration Adobe Stock).

À l’Eveil de Pont-Audemer (Eure) nous avons choisi de vous informer pour ces élections municipales de 2020 comme nous le faisons à longueur d’année, sans parti pris, avec impartialité, mais en restant maître de notre agenda, des sujets que nous souhaitons traiter… ou pas. À cet effet, il nous semble utile de préciser à destination de nos lecteurs mais aussi à usage des candidats, quelques règles que nous entendons bien respecter.

Une équipe « au taquet »

 

Depuis des semaines déjà, l’équipe de l’Eveil de Pont-Audemer est « au taquet », ses journalistes et correspondants étant mobilisés pour les présentations des candidats et listes de toutes les communes de notre secteur de diffusion. Nous avons précisément 89 communes à traiter (hors ancien canton de Bourgtheroulde, secteur partagé avec nos confrères du Courrier de l’Eure). Ce qui veut dire que le travail est considérable, d’autant plus que nous ne négligeons évidemment lors des Municipales aucun pan de l’actualité locale autre que politique. Nous nous déplaçons à la demande des candidats pour leur présentation mais également nous allons au-devant de cette information, ce qui est la base de notre métier. C’est-à-dire que nous sollicitons ceux que nous savons candidats pour présenter leur liste dans l’Eveil.

Lire aussi : Municipales 2020 : quand les maires ont le blues…

Or certains considèrent qu’ « il y a le temps ». Pour raisons diverses (« stratégiques » parfois), certains candidats ne souhaitent pas « sortir du bois » trop tôt, désirant dévoiler leurs colistiers et leur programme ou leurs idées quelques jours avant l’échéance seulement. Mais à ce propos par souci d’équité, il nous semble utile de préciser qu’aucune présentation complète de liste (avec photo et identité de tous ceux qui la composent) ne sera faite dans l’Eveil de Pont-Audemer du mardi 10 mars, dernière édition avant le scrutin du 1er tour. Elles auront toutes été privilégiées avant. Cette dernière édition avant le premier tour sera par contre consacrée à un récapitulatif complet de toutes les candidatures sur l’ensemble de nos 89 communes (avec les noms de listes et de têtes de listes).

Contactez-nous

 

Pour faire paraître un article sur sa liste donc au plus tard dans l’Eveil du 3 mars (avec photo, identité, âge et profession des personnes figurant sur la liste), vous devrez nous contacter au plus tard le mercredi 26 février… mais nous vous invitons à le faire évidemment bien avant. Vous avez profusion de moyens pour le faire : appeler le téléphone fixe de la rédaction (02 32 41 20 20) ; nous envoyer un mail à l’adresse eveil.pont-audemer@publihebdos.fr. Nous vous déconseillons pour des raisons pratiques de passer par nos instruments de veille Messenger et Twitter.

Comment faire ensuite

 

Pour ces présentations de liste, nous pouvons nous déplacer mais vous pouvez également nous transmettre une photo, avec les renseignements suivants sur les candidats de la liste : nom, prénom, profession et si possible âge. Dans la mesure du possible, avec en texte une légende de gauche à droite sur la photo ou/et dans l’ordre d’apparition sur la liste. Des photos complètes s’il vous plaît, à défaut avec mention « Manquent sur la photo X et Y ». De grâce, sans rajouter de « têtes » avec un logiciel, c’est du plus mauvais effet et si vous y aviez recours, nous devrions le mentionner pour nos lecteurs.

Vous pouvez également joindre un texte avec ces photos, avec les priorités fixées par les membres de la liste et la tête de liste, les projets et thèmes de campagne des candidats. Ces éléments serviront de base à un article rédigé par l’un de nos journalistes. Oui car contrairement à ce que certains pensent (ou feignent de croire), on ne « met pas » un article dans l’Eveil ; on délivre une information, on propose… les journalistes font ensuite leur travail.

Mille mercis

 

Mille mercis d’avoir pris note des préconisations ci-dessus, censées garantir en partie la production d’informations fiables, honnêtes et de qualité. Des informations, concernant les élections municipales des 15 et 22 mars 2020, qui seront étalées au fil de nos éditions, en fonction de la place que nous aurons à leur consacrer, mais dont une partie sera aussi diffusée sur le site Internet de l’Eveil de Pont-Audemer. Toute l’actualité sur les élections municipales 2020 sur notre secteur de diffusion est en effet à suivre tous les mardis dans l’Éveil de Pont-Audemer mais également sur le site Internet de l’Éveil de Pont-Audemer via l’onglet Élections municipales en haut de la page d’accueil. À ce jour (lundi 10 février), près de cent articles relatifs à ces élections sont d’ores et déjà publiés et tous renvoient vers d’autres articles et archives sur le même thème. Vous êtes de plus en plus nombreux à consulter ces articles et, plus globalement, tous ceux publiés sur notre site Internet et nous vous en remercions. C’est pour toute l’équipe de l’Éveil un encouragement à tout faire pour être à la hauteur de vos attentes.

Lire aussi : Municipales 2020 : les engagements de la rédaction de l’Eveil de Pont-Audemer

Municipales 2020. Les candidats de Beaucé pour un futur agréable et humain

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1er rang, de gauche à droite : Sandrine Daucé-Fleuret, Louis Creignou, Pierre Berhault, Sylvaine Berthelot, Stéphane Idlas, Brigitte Lagrée, Paulina Tabrizi. Deuxième rang : Christophe Delin, Alexandra Flinois, Denis Potier, Fabienne Lesavetier, Antoine Piron, Marie-Stéphane Macé et Fabrice Libor. Absents sur la photo : Philippe Frauciel, Jeanine Perdriel, Mickaêl Prioul

1er rang, de gauche à droite : Sandrine Daucé-Fleuret, Louis Creignou, Pierre Berhault, Sylvaine Berthelot, Stéphane Idlas, Brigitte Lagrée, Paulina Tabrizi. Deuxième rang : Christophe Delin, Alexandra Flinois, Denis Potier, Fabienne Lesavetier, Antoine Piron, Marie-Stéphane Macé et Fabrice Libor. Absents sur la photo : Philippe Frauciel, Jeanine Perdriel, Mickaêl Prioul (©Chronique Républicaine).

Stéphane Idlas, adjoint sortant de Beaucé, près de Fougères, a constitué une liste de quinze candidats et deux suppléants pour les prochaines élections municipales qui se dérouleront les 15 et 22 mars prochains.

Lire aussi : Municipales 2020 : à Beaucé, qui pour succéder à Jean-Louis Lagrée ?

Cette liste nommée « Beaucé pour un futur agréable et humain » est composée de six anciens conseillers (cinq sortants et une ancienne élue).

Cette nouvelle équipe proposée est sans étiquette politique, au service des Beaucéens, chacun amenant ses expériences et ses compétences. Un des premiers enjeux du mandat sera de réfléchir à un nouveau PLU.

A nous Beaucéens d’imaginer notre territoire rural et périurbain aux portes de Fougères, en garantissant notre attractivité et tout en préservant notre environnement agricole ».

« Renforcer l’attractivité »

Au cours du mandat, l’équipe sera peut-être amenée à réfléchir à une meilleure mutualisation avec ses voisins. L’équipe souligne :

Un autre dossier devra avancer avec les services de l’état, c’est la sécurisation urgente de la traversée de la commune par la RN 12 ».

La liste de Stéphane Idlas souligne également que

les actions communales doivent permettre de renforcer l’attractivité en proposant un cadre de vie agréable entre ville et campagne, en s’appuyant sur les commerces, services, équipements et le tissu associatifs, conserver l’image du bien vivre ensemble insufflée par l’équipe précédente et favoriser les échanges intergénérationnels, tenir compte des critères de développement durable et des transitions énergétiques avec l’installation de panneaux photovoltaïques, programme de rénovation de l’éclairage publique et favoriser les déplacements doux, vélos piétons ».

La démocratie participative sera accentuée en proposant un temps fort annuel pour inviter la population à une réunion d’échanges et de débats. Au niveau communautaire, Stéphane Idlas se propose d’être un représentant acteur, constructif et ambitieux pour défendre le territoire communautaire et le rendre plus attractif, tout en respectant un équilibre dans les aménagements sur l’ensemble de l’agglomération.

Les candidats

Louis Creignou, 74 ans, retraité (conseiller sortant). Pierre Berhault, 62 ans, retraité (conseiller sortant). Sylvaine Berthelot, 45 ans, assistante. Stéphane Idlas, 58 ans, chirurgien dentiste (adjoint sortant). Brigitte Lagrée, 62 ans, retraitée. Paulina Tabrizi, 38 ans, contrôleuse de gestion.

Denis Potier, 58 ans, retraité. Fabienne Lesavetier, 41 ans, éducatrice spécialisée. Antoine Piron, 18 ans, étudiant. Marie-Stéphane Macé, 59 ans, assistante médicale. Fabrice Libor, 60 ans, enseignant. Philippe Frauciel, 68 ans, retraité. Jeanine Perdriel, 61 ans, agricultrice. Mickaêl Prioul, 38 ans, facteur. Alexandra Flinois, 53 ans, enseignante suppléante.

Sandrine Daucé-Fleuret, 44 ans, animatrice d’insertion sociale (suppléante). Christophe Delin, 45 ans, chargé d’affaires (suppléant).

Municipales. La liste de Patrick L'Héréec à Plounérin

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De gauche à droite
Yvan Duval, Pascal Faës, Edith Le Goffic, Jean Michel Le Bonhom, Lisette Hamon, Norbert Lancien, Marylène Le Bec, Christian Jacob, Déborah Le Goff, Jean-Paul Perron, Patrick L'Héréec, Damien Colas, Ollivier Floch, Régis Nicolas et Didier Colin.

De gauche à droite : Yvan Duval, Pascal Faës, Edith Le Goffic, Jean Michel Le Bonhom, Lisette Hamon, Norbert Lancien, Marylène Le Bec, Christian Jacob, Déborah Le Goff, Jean-Paul Perron, Patrick L’Héréec, Damien Colas, Ollivier Floch, Régis Nicolas et Didier Colin. (©Marc Lhermenier – Le Trégor)

C’est ce samedi 15 février, en contrebas de l’école communale, que Patrick L’Héréec, le maire sortant de Plounérin, a choisi de dévoiler ses nouveaux colistiers pour les prochaines échéances aux élections municipales.

Provenant de l’ensemble des secteurs de la commune, cette nouvelle équipe rajeunie, avec une moyenne d’âge de 49 ans, est composée de sept conseillers sortants et de huit nouvelles personnalités issues de milieux professionnels différents qui viendront étoffer les compétences de cette nouvelle liste.

La liste

Patrick L’Héréec conduira sa liste avec Yvan Duval, 39 ans, entrepreneur de travaux agricoles, conseiller sortant ; Pascal Faës, 35 ans, paysan boulanger ; Edith Le Goffic, 48 ans, employée commerciale, conseillère sortante ; Jean-Michel Le Bonhom, 34 ans, agriculteur, conseiller sortant ; Lisette Hamon, 66 ans, retraitée de la fonction publique territoriale ; Norbert Lancien, 59 ans, technicien animalier porcin, adjoint sortant ; Marylène Le Bec, 64 ans, retraitée de la fonction publique territoriale ; Christian Jacob, 53 ans, agriculteur, adjoint sortant ; Déborah Le Goff, 29 ans, aide-soignante ; Jean-Paul Perron, 67 ans, retraité ; Damien Colas, 30 ans, responsable transport ; Ollivier Floch, 48 ans, monteur de matériel d’élevage, conseiller sortant ; Régis Nicolas, 40 ans, technicien en systèmes d’alarme ; Didier Colin, 64 ans, retraité chauffeur routier.

Le programme de la liste sera communiqué dans quelques jours et Patrick L’Héréec indique que « les points forts mis en avant pendant cette mandature seront la poursuite des projets en cours comme la mise en place d’un commerce multiservices, l’achèvement de l’extension de la salle des fêtes, la réalisation d’un nouveau lotissement à Saint-Junay Vras, les travaux sur les vitraux de l’église, les travaux de reprise des tombes au cimetière, la poursuite des travaux de voirie, l’éclairage public, les hangars communaux, entre autres. »

Lire aussi : Autour de Lannion. Une cinquantaine de candidats déclarés pour les Municipales

Municipales 2020. Ouistreham : Sophie Börner présente sa liste « Vivre écologiste et citoyenne »

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La liste « Vivre écologiste et citoyenne » présentée par Sophie Börner.

La liste « Vivre écologiste et citoyenne » présentée par Sophie Börner.

À Ouistreham près de Caen (Calvados), Sophie Börner, conseillère municipale d’opposition Europe Écologie Les Verts, sera en tête d’une liste écologiste et citoyenne pour les élections de mars prochain.
Denis Josquin, autre élu de l’opposition l’a rejointe. On note également la présence de Mickaël Bertrand, ancien maire de Cambes-en-Plaine. Les 29 femmes et hommes qui composent cette liste, ont, au contact des habitants, bâti un programme et se sont engagés (es) à être au service de la ville et de ses habitants. Leur projet repose sur un socle de valeurs telles que : « sensibilisation et formation à la transition, coconstruction des politiques locales, intégration des impacts à long terme et de l’urgence climatique et sociale. »

Lire aussi : Municipales 2020. À Ouistreham, Sophie Börner est la 3e candidate avec Romain Bail et Raphaël Chauvois

« ville référence en matière de transition écologique »

Sophie Börner souhaite que « Ouistreham devienne une ville référence en matière de transition écologique, de développement des sports nautiques et balnéaires, innovante en matière d’éducation, de mode de déplacement et de démocratie de proximité. Les premières mesures de la liste iront vers une rénovation énergétique des bâtiments publics et vers une consultation des habitants pour mettre en place un plan de circulation favorisant les liaisons douces et les transports collectifs. »

Un accueil de jour pour les migrants

Interpellée sur le cas des migrants, Sophie Börner serait « pour mettre en place un accueil de jour encadré par des associations. »

Photo, en partant de la gauche :
1re marche : Fabrice Le Derf, 48 ans, enseignant ; Denis Josquin, 55 ans, principal adjoint ; Sophie Börner, 59 ans, professeure ; Ludivine Buquet, 36 ans, créatrice de contenu, blogueuse ; Jean-Claude Montac, 65 ans, musicien professionnel.
2e rang : Amélia Cadieu, 50 ans, artiste peintre ; Sophie Pedrono Le Derf, 45 ans, secrétaire de direction ; Mickaël Bertrand, 46 ans, assistant socio-éducatif et ancien maire de Cambes-en-Plaine ; Anne-Marie Garcia, 53 ans, conseillère de clientèle ; Marie Le Bas, 70 ans, directrice d’agence de voyages, retraitée.
3e rang : Fatima Kosker, 34 ans, professeure ; Christophe Nourry, 51 ans, cadre technique et sécurité logistique ; Véronique Pigné, 59 ans, professeure des écoles ; Brigitte L’Haridon, 61 ans, enseignante référente handicap ; Sophie Poncet, 48 ans, chargée de mission environnement marin ; Benoît Evrat, 39 ans, ingénieur réseau télécoms ; Sophie Roger, 57 ans, médecin du travail.
4e rang : Nicolas Frenod, 47 ans, cadre informaticien ; Dominique Delair, 57 ans, professeure des écoles ; Yoann Villedieu, 39 ans, professeur des écoles ; Edwige Chapalain, 61 ans, infirmière retraitée ; Jonathan Gautier, 23 ans, étudiant ; André Sesboüé, 53 ans, maître de conférences ; Patrick Crinquette, 74 ans, orthoptiste retraité, ancien adjoint à Cherbourg ; Ariane Weben-Butavand, 60 ans, avocate, ancienne bâtonnière du Barreau de Caen.
Absents sur la photo : Véronique Foucher, 60 ans, artiste plasticienne ; Patrick Legeas, 55 ans, ingénieur ; Kévin Lepetit, 25 ans, équipier restauration ; Sean O Nuallain, 60 ans, professeur.

Pratique. Prochaine réunion publique mardi 10 mars 18 h Grange aux Dîmes.

Lire aussi : Municipales 2020. Ouistreham : La liste de Raphaël Chauvois dévoilée

Handball. Après la "honte", le Caen Handball a un devoir de rachat

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Jordan Allais, vice-capitaine, et ses coéquipiers sont attendus au tournant contre Frontignan.

Jordan Allais, vice-capitaine, et ses coéquipiers sont attendus au tournant contre Frontignan. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Il se murmure que les joueurs du Caen Handball ont eu droit à des entraînement très matinaux, cette semaine. Puisque Roch Bedos, dans une colère noire après la lourde défaite concédée à Gonfreville (41-31), ne pouvait pas changer toute l’équipe comme il l’aurait sûrement voulu, il a infligé à ses troupes des horaires de travail pour le moins inhabituels. 

Gagner pour « tourner la page »

La tempête du week-end dernier, sur le terrain puis dans les déclarations à la presse (« joueurs surcotés », « pas d’orgueil », « pas d’âme », « pas de leader », etc.), est pourtant derrière les Vikings. Il a bien fallu passer à autre chose après le choc d’une contre-performance qui semble condamner le relégué de Proligue à une deuxième partie de saison sans ambition. Thomas Lamora, président du Caen Handball :

Les propos sont justifiés dans un contexte d’énorme déception. C’était un naufrage collectif. On s’est dit des choses. La colère était forte samedi et dimanche. Lundi, on est retourné au travail.

Le calendrier sportif a repris ses droits. Dès dimanche 16 février, le Caen Handball sera de retour sur le terrain contre Frontignan, quatrième du classement. « Le meilleur moyen de tourner la page est de gagner. Sinon, on va se lamenter jusqu’à quand ? » Au-delà du résultat, ce sont surtout les attitudes qui seront observées. A domicile, les Caennais n’auront pas le droit à l’erreur dans ce registre. 

« Il faut être très humble »

Quid de la suite ? Septième, Caen n’est pas définitivement décroché dans la course à la montée compte tenu du système très particulier propre à la Nationale 1 et des difficultés financières de Vernon. Mais évoquer une accession dans ce contexte paraît hors de propos. Thomas Lamora : 

Il faut être très humble. On ne peut pas jouer une montée sur tapis vert. Il n’est pas question de retourner en Proligue par le biais de méandres administratifs. Il faut une dynamique sportive en parallèle. 

En attendant, les Vikings doivent lancer une dynamique pour que la deuxième partie de saison ne soit pas que sinistrose. Leur très bonne préparation prouve qu’ils ont les capacités de faire bien mieux que le triste spectacle délivré à Gonfreville. « On a quand même mis 34 bus à Cesson… » Reste à prouver que ces joueurs bons pour la « cour de récréation », selon leur coach, ont la capacité à jouer sous pression. Cet après-midi, elle sera grande. 


A Briouze, la commune obtient une deuxième fleur

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Les agents communaux tenant l’un des panneaux prochainement installés.

Les agents communaux tenant l’un des panneaux prochainement installés. (©DR)

A Briouze (Orne), la commune va être dotée de nouveaux panneaux prochainement. La commune a été distinguée à Caen (Calvados) lundi 13 janvier 2020 d’une deuxième fleur.

Lire aussi : A Briouze, la 15è édition de la quinzaine du jeu prévue du 7 au 21 février

 En 2017, la commune obtenait sa première fleur, avec Philippe Bondis, ancien employé communal désormais retraité. « Dans la foulée de son travail, on a essayé de continuer ce qu’il a fait, d’améliorer des choses », révèle Nicolas Loudière, agent communal.

Sensibiliser les gens à l’écologie, modifier les techniques de travail… Le Briouzain l’admet lui-même, « on travaille plus sur les techniques que sur le fleurissement lui-même ! »

Une distinction grâce aux travaux

Si les employés communaux sont investis dans leur travail, Nicolas Loudière estime que ce sont les travaux de voirie qui ont beaucoup joué sur cette récompense. Le cœur du bourg est principalement concerné pour le fleurissement.

Lire aussi : Près de Briouze, le maire de Sainte-Opportune candidat à sa succession

Aux alentours, « on intervient moins et on laisse la nature reprendre ses droits », poursuit-il. Un objectif accompli pour l’agent, aussi bien pour la distinction que pour l’embellissement de la commune.

« C’est le résultat du travail fait, ça permet à la commune de gagner en visibilité. » Cinq panneaux vont prochainement être installés. Le salarié l’admet, « on ne va pas s’arrêter là, même si obtenir une 3e fleur, c’est plus compliqué. »

Près de Segré, le parcours minier de Nyoiseau va prendre une nouvelle dimension au Bois II

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Le président Marc Beluet et Gilles Jamois, de l’association des mines de fer de l’Anjou devant les machines  de la Centrale 3 à Nyoiseau.

Le président Marc Beluet et Gilles Jamois, de l’association des mines de fer de l’Anjou devant les machines de la Centrale 3 à Nyoiseau. (©Haut Anjou)

Le projet d’extension du parcours minier n’est pas encore complètement ficelé. Mais les anciens mineurs et fils de mineurs y croient dur comme fer.

Ils sont venus en nombre samedi 8 février, salle de l’abbaye à Nyoiseau, en Maine-et-Loire, participer à l’assemblée générale de l’association des mineurs de fer de l’Anjou.

Un parcours déjà largement documenté

Le président Marc Beluet y a détaillé, étape par étape, les nouvelles animations qui vont venir étoffer un parcours minier déjà largement documenté.

Lire aussi : La toiture de l’église de Nyoiseau en rénovation jusqu’en mars 2020

Depuis son inauguration le 24 septembre 2018, le compteur installé à l’entrée du site n’arrête pas de tourner. Il affiche presque 13 000 visites en seize mois.

« On aurait pu s’arrêter là », poursuit Marc Beluet, en relevant le menton pour interpeller l’assemblée.

 On a encore de l’énergie

Dans la salle, des voix de mécontentement se font entendre. Le président esquisse un large sourire avant d’ajouter :

« On a encore de l’énergie. On va en mettre une deuxième couche. » Plusieurs visages s’illuminent quand il explique que ce nouveau projet va redonner un supplément d’informations aux visiteurs.

Les 10 000 € d’excédent dans les caisses de l’association laissent les coudées franches pour poursuivre la réflexion en toute quiétude.

Lire aussi : Florent Maussion, artiste peintre à Nyoiseau, est maintenant chez lui à Centrale 2

Quatre nouvelles étapes

Quatre nouvelles étapes sont dans les cartons. Marc Beluet les a présentées sommairement.

La première se résume à une mise en situation des différentes phases de travail, à partir d’un gros bloc transformé en minerais de fer.

Le président Marc Beluet et Gilles Jamois, de l’association des mines de fer de l’Anjou devant les machines  de la Centrale 3 à Nyoiseau (Maine-et-Loire).

Le président Marc Beluet et Gilles Jamois, de l’association des mines de fer de l’Anjou devant les machines de la Centrale 3 à Nyoiseau (Maine-et-Loire). (©Haut Anjou)

La deuxième étape est un autre challenge confié à l’artiste Thomas Jourdan. Son but est d’expliquer à l’aide d’une grande maquette de deux mètres de hauteur, à quoi servait la Recette, comment elle fonctionnait.

L’étape 3 consiste à expliquer les différents travaux réalisés au fond de la mine, à l’aide d’un photo-montage.

Lire aussi : L’artiste Jimmix s’attaque à de l’habitat atypique dans les anciennes mines de Nyoiseau

Trop peu d’enfants de mineurs adhèrent

L’étape 4 est certainement l’une des plus attractives pour le public. L’idée est de faire découvrir les énormes machines qui se trouvent à l’intérieur de Centrale 3.

Sachant que l’accès est interdit aux personnes, l’association prévoit de construire un escalier et d’aménager une plateforme sécurisée à l’intérieur du bâtiment.

Une vue sur 90% des machines

Cet espace devra être capable d’accueillir des groupes de 20 à 30 personnes, ayant une vue sur 90% des machines.

Il faut qu’on s’accroche

« Ce n’est pas gagné. Il faut qu’on s’accroche. C’est un bâtiment communal. Il nous faudra du temps pour obtenir les autorisations administratives et monter les dossiers », poursuit Marc Beluet.

L’autre projet des anciens mineurs est de transmettre l’histoire de la mine aux jeunes générations.

« Nous devons nous mobiliser car nous avons encore trop peu d’enfants de mineurs qui adhèrent. »

Tramway de Montpellier : incidents techniques sur les lignes 1 et 2

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Renfort des lignes pour les fêtes de fin d'année

La ligne 1 du tramway est perturbée jusqu’à mardi matin (©Actu.fr)

A la suite d’un incident technique survenu ce samedi, lors des travaux d’entretien de la voie ferrée, dans le secteur du Corum, à Montpellier, le service des lignes 1 et 2 de tramway est partiellement interrompu dans le sens Albert 1er – Corum vers l station de la Gare SNCF Saint-Roch, les lignes étant déviées par le boulevard du Jeu de Paume (Ligne 1) ou par la station des Aubes (Ligne 2).

L’interruption de service est valable  jusqu’à ce lundi 17 février inclus, précise la TaM 3M.

Les stations Comédie et Gare SNCF Saint- Roch-Maguelone n’étant pas desservies dans le sens Corum vers la Gare, les voyageurs sont invités à se reporter aux arrêts Gare Saint- Roch République (ligne 1) et Gare St Roch-Rue Jules Ferry, pour la ligne 2.

> Pratique : toutes les infos sont sur http://www.tam-voyages.com

Lire aussi : Page Facebook : avec Trafic Métropolitain, suivez l’actualité en temps réel

Municipales 2020 à Saint-Jean-sur-Vilaine : découvrez la liste de Marc Fauvel

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De droite à gauche : Anthony Letort, Marie-Pierre Baslé, David Lebreton, Sandrine Deschamps-Pozzan, Annick Crespel, Frédéric Le Faou, Stéphanie Leray, Dominique Davenel, Marc Fauvel, Patricia Travers, Philippe Jeuland, Mélanie Bedier, Emmanuel Mestrad, Jacqueline Gandouin-Viel et Benoît Bourges.

De droite à gauche : Anthony Letort, Marie-Pierre Baslé, David Lebreton, Sandrine Deschamps-Pozzan, Annick Crespel, Frédéric Le Faou, Stéphanie Leray, Dominique Davenel, Marc Fauvel, Patricia Travers, Philippe Jeuland, Mélanie Bedier, Emmanuel Mestrad, Jacqueline Gandouin-Viel et Benoît Bourges. (©Le Journal de Vitré)

Le maire de Saint-Jean-sur-Vilaine, Marc Fauvel, mène la liste Agissons pour Saint-Jean aux élections municipales.

Il est accompagné de six autres élus sortants que l’on retrouve aux premières places sur la liste.

Si elle est élue, l’équipe a défini ses priorités pour le mandat à venir.

Lire aussi : Municipales 2020 à Saint-Jean-sur-Vilaine : le maire, Marc Fauvel, se représente

« Le thème le plus important est la sécurité », annonce Marc Fauvel. Il pense notamment à l’aménagement du bourg et à la cohabitation voitures-piétons.

Nous avons la chance d’avoir la D857, notre colonne vertébrale. 6 000 à 7 000 voitures traversent le bourg chaque jour. Mais le logement s’est développé au Nord alors que notre structure scolaire est au Sud. Il faut donc veiller particulièrement à la sécurité des enfants. »

Les autres axes importants sont « le soutien à la vie associative », « la valorisation des équipements », « le développement de la communication, notamment sur les réseaux sociaux », « le développement urbain avec un futur lotissement d’une centaine de lots » et « la continuité de l’action écoresponsable afin de sensibiliser les habitants ».

La liste dans l’ordre officiel

  • Marc Fauvel. 65 ans, maire.
  • Stéphanie Leray. 47 ans, accompagnante médiatrice.
  • Anthony Letort. 39 ans, technicien VRD.
  • Jacqueline Gandouin-Viel. 68 ans, retraitée bancaire.
  • David Lebreton. 37 ans, professeur de cuisine.
  • Marie-Pierre Baslé. 45 ans, régleur de sinistre.
  • Dominique Davenel. 45 ans, agriculteur.
  • Annick Crespel. 55 ans, responsable administrative.
  • Philippe Jeuland. 50 ans, commercial.
  • Mélanie Bedier. 57 ans, aide aux familles.
  • Frédéric Le Faou. 42 ans, chargé d’affaires.
  • Patricia Travers. 54 ans, conseillère en immobilier.
  • Emmanuel Mestrad. 40 ans, agent de maîtrise.
  • Sandrine Deschamps-Pozzan. 48 ans, assistante maternelle.
  • Benoît Bourges. 38 ans, technicien eau potable.

Brée : Le Bistrot de la gare applique le Too Good To Go

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Sandrine et Emmanuel, les gérants du Bistrot de la Gare à Brée.

Sandrine et Emmanuel, les gérants du Bistrot de la Gare à Brée. (©Le Courrier de la Mayenne)

Les propriétaires du Bistrot de la gare, restaurant-traiteur situé à Brée à l’entrée de Montsûrs, appliquent le Too good, too go.

Pour lutter contre le gaspillage alimentaire, ils proposent depuis le mois de février des paniers invendus sur une application gratuite, via votre téléphone, ou votre tablette.

« Nous achetons au maximum des produits locaux, le plus possible de produits bio. Notre but est de ne pas voir nos invendus finir à la poubelle, précisent Sandrine et Emmanuel. Cette application, Too good, too go, permettra à toute personne à proximité ou de passage en Mayenne de nous connaître, ainsi que d’autres professionnels des environs qui proposent leurs invendus à des prix cassés. »

Des repas invendus du jour à récupérer entre 19h et 20h

« Chaque soir, nous créons des lots de nos repas invendus de la journée, qui ne peuvent pas être vendus le lendemain. Les personnes intéressées n’ont plus qu’à cliquer, payer et venir chercher, entre 19h et 20h, les jours où, bien sûr, des paniers sont disponibles. C’est l’occasion de participer à stopper le gaspillage alimentaire, et d’emporter des produits frais à déguster chez soi.

Contact : Le Bistrot de la Gare. Place de la Gare de Montsurs, à Brée. Tél. 07 62 93 87 23

 

 

Lot-et-Garonne. Le fait main a son salon

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La première édition du salon avait connu un vif succès.

La première édition du salon avait connu un vif succès.

Si Tonneins… Citoyens réitéré, compte tenu du succès de l’édition 2019, son salon du fait-main à Tonneins.

Parmi les exposants: des amateurs et des professionnels dans des domaines très variés tels que bijoux, broderie, couture, crochet, lutherie, meubles, mode, origami, poterie, recyclage, tissage, tricot.

Dimanche 16 février de 10 h à 18 h à la Manoque.

L’entrée est gratuite et il y aura des ateliers d’initiation.

En Mayenne, l'association Quest'handi recherche de nouveaux locaux et des bénévoles

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De gauche à droite : Marie-Charlotte Carboni, salariée, Léa Becot, Solène Legeay et Aurélien Rivet.

De gauche à droite : Marie-Charlotte Carboni, salariée, Léa Becot, Solène Legeay et Aurélien Rivet. (©Le Courrier de la Mayenne)

Auriez-vous des locaux à proposer à l’association Quest’handi, basée à Laval en Mayenne ? L’association qui œuvre pour l’accessibilité des événements culturels aux personnes handicapées recherche de l’espace.

« Au vu des demandes de plus en plus nombreuses reçues par notre association et du développement de son implication, nous souhaitons trouver de nouveaux locaux nous permettant de faciliter son organisation et sa gestion, dont le stockage du matériel », expliquent Léa Becot et Solène Legeay, coprésidentes de l’association.

A la recherche aussi de bénévoles

De nouveaux bénévoles seraient également les bienvenus. Actuellement, l’association rassemble une cinquantaine de bénévoles.

L’association n’agit plus seulement au niveau régional. Le bouche-à-oreille a fait son œuvre jusque dans le sud de la France. Quest’handi intervient notamment sur le festival de Thau dans l’Hérault.

En 2020, Quest’handi poursuivra aussi sa participation au projet engagé par la Mayenne pour devenir département 100 % inclusif.

Pratique : association Quest’handi, 43, rue des Grands Carrés à Laval, tél. 07 82 43 37 18 ou mail questhandi@gmail.com.

Lire aussi : Accessibilité : Quest’handi a réussi son défi


Gironde. Emploi : Les Grands Chais de France à Landiras recrutent

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Les Grands Chais de France à landiras (Gironde) recutent 8 cavistes.

Les Grands Chais de France à Landiras (Gironde) recutent 8 cavistes. (©Grands Chais de France)

Les Grands Chais de France à Landiras (Gironde) recrutent 8 cavistes en alternance (contrat de 9 mois en CDD), qui pourra être suivi d’un Contrat à Durée Indéterminée.

Le recrutement se fera sans CV, uniquement sur les habiletés (via la Méthode de Recrutement de Simulation mise en place par Pôle emploi).

Vous bénéficierez d’une formation gratuite, rémunérée et diplômante.

Offre 099HWCL

Pour postuler, contacter le 05.24.07.70.21 de 10h30 à 12h15 ou envoyer un mail à : mrsgironde.33062@pole-emploi.fr

Lire aussi : Vidéo. Landiras : dans les coulisses des Grands Chais de France

Une réunion d’information le 9 mars 2020

Une réunion d’information et de recrutement prévue le lundi 9 mars 2020 matin.

Pour tout savoir sur le métier de caviste aux Grands Chais de France, rendez-vous sur la chaîne You Tube de l’IFRIA.

Vidéo : IFRIA Emploi – Caviste aux Grands Chais de France

 

Voici l’offre n° 099HWCL

Cavistes (H/F)

33 – LANDIRAS

Vous serez recruté/e sans CV (Méthode de Recrutement par Simulation) afin d’être formé/e au poste de Caviste Vous préparez les produits (vins, alcool, intrants) de la réception à la mise à disposition pour l’embouteillage conformément aux standards en vigueur dans l’entreprise (en terme de sécurité, de satisfaction client et de productivité) = – Effectuer les différentes opérations de réception et de traitement des produits – Réceptionner et décharger les produits – Réaliser les pompages, traitements et stabilisation des mous et des vins – Procéder aux opérations d élaboration des produits (prise de mousse, aromatisation, dosage, correction avant mise, ) – Détecter et analyser les dysfonctionnements et les pannes et apporter les solutions adaptées – Effectuer les dépannages de niveaux 1 à 3 – Maintenance préventive et curative niveaux 1 et 2 ***Lieu de travail non desservi par les transports en commun***

Contrat en alternance (apprentissage ou professionnalisation suivant votre âge), en vue d’obtenir la certification OTIA (OPÉRATEUR DE TRANSFORMATION EN INDUSTRIE ALIMENTAIRE), avec possibilité de Contrat à Durée Indéterminée à l’issue

Contrat à durée déterminée – 9 Mois – Contrat alternance

35H Travail en 3X8

Salaire : % du SMIC selon profil et contrat

Lire aussi : Gironde. Passez huit mois au contact des animaux du Parc animalier du Sud-Gironde à Landiras

Le profil souhaité

Expérience

  • Débutant accepté

Savoirs et savoir-faire

  • Hauteur de cuve de plus de 12 mètres

  • Maitrise lecture,écriture et calcul

  • Nombreux déplacements à pieds

  • Port de charges (jusqu’à 25kg)

  • Station debout prolongée

  • Travail exclusivement en 3X8

  •  

Savoir-être professionnels

  • Capacité d’adaptation

  • Travail en équipe

  • Rigueur

Pour postuler : 05.24.07.70.21 de 10h30 à 12h15 ou envoyer un mail à : mrsgironde.33062@pole-emploi.fr

Melun. Deux gendarmes de l'EOGN en lice au 4L Trophy 

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Les lieutenants Coralie et Vincent, de l'EOGN, vont tenter le défi solidaire au Maroc

Les lieutenants Coralie et Vincent, de l’EOGN, vont tenter le défi solidaire au Maroc (©Sébastien D./EOGN)

Une manière de participer à une cause humanitaire, mais aussi de représenter la gendarmerie et l’école au-delà des frontières. Coralie et Vincent, 27 et 25 ans, élèves officiers de l’EOGN de Melun, se préparent au 4L Trophy. Ce rallye solidaire se déroulera du 20 février au 1er mars prochain, au Maroc. Les deux lieutenants ont été sélectionnés parmi les 169 élèves de la promotion du Centenaire.

Fournitures

Les fournitures scolaires sont prêtes à être chargées dans la 4L ! Le grand départ approche : J-15 ! 🚙💨

Publiée par 4L Trophy – EOGN Promotion du Centenaire sur Mardi 4 février 2020

Pour la lieutenant Coralie, originaire de Chamonix (Haute-Savoie), ce périple ne sera pas sa première mission humanitaire. « J’ai déjà participé à un raid sportif au Maroc, explique cette doctorante qui, au terme de sa formation, rêve d’intégrer l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). Ici, ce sera aussi l’occasion de venir en aide aux enfants en apportant du matériel. »

Dans leur 4L, rachetée à la 124e promotion de l’EOGN, ils embarqueront des fournitures scolaires et du matériel de sport. Pour le lieutenant Vincent, ce défi est l’occasion de réaliser une mission caritative. « Avec mes études, je n’avais pas eu l’occasion de faire de mission humanitaire alors cette aventure va me permettre de le réaliser », souligne-t-il. 

A quelques jours du départ : ils mettent les mains dans le cambouis ! #preparatifs#4Ltrophy

Publiée par 4L Trophy – EOGN Promotion du Centenaire sur Vendredi 14 février 2020

A la sortie de l’école, ce dernier aimerait travailler dans la sécurité routière. L’aventure leur permettra aussi de « représenter la gendarmerie nationale, l’école et notre promotion. » Munis d’une carte et d’une boussole, ils devront relier Melun à Marrakech, via Biarritz. « Notre objectif est d’arriver jusqu’à l’arrivée ! », conclut-il

Renseignements – promotion125eogn.partenariat@gmail.com ou 4L Trophy – EOGN Promotion du Centenaire

Municipales 2020. Comment attirer des médecins spécialistes à Alençon ?

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La désertification médicale, une problématique au coeur des préoccupations des Alençonnais.

La désertification médicale, une problématique au coeur des préoccupations des Alençonnais. (©DR)

Yves Cortès

Être incitatif pour accueillir les professionnels libéraux. À savoir, construire un pôle santé au sein de l’hôpital, ou à l’extérieur, pour y accueillir, dans le cadre d’économie d’échelle des professionnels de santé qui en plus pourraient mutualiser et coopérer entre eux. Une incitation locative et ou fiscale pourrait être un bon complément. Des généralistes qui manquent également à Alencon pourraient également bénéficier de cette structure. Cela a été fait ailleurs, notamment à Pré en pail. Pourquoi cela n’a t’il pas été fait avant ?

Emmanuel Darcissac

L’accès à la santé pour tous est une priorité majeure. La baisse de la démographie médicale depuis plusieurs années sur notre territoire, comme sur beaucoup d’autres, est avérée. En 2017, 3 500 habitants d’Alençon n’avaient pas de médecin traitant dont 400 en affection-de longue durée. En 2018, le nombre de généralistes était de 25, 14 avaient 60 ans et plus et 5 de 55 à 59 ans. Face à cette urgence, j’ai créé dès 2018 les Assises de la Santé afin de réunir les acteurs de la santé et les habitants pour proposer collectivement des solutions. Un préambule nécessaire, avant de porter le projet ambitieux du Centre municipal de Santé.

Ce premier centre municipal de Normandie, que nous avons ouvert en moins d’un an, accueille depuis novembre 2019 déjà plus de 1000 patients qui n’avaient pas de médecin traitant. Nous avons réussi à faire venir 4 nouveaux médecins à Alençon qui sont salariés par la Ville. C’est une première réponse, il faut la développer. Un centre municipal de santé peut aussi salarier des spécialistes. Demain, avec la CUA, 2 pôles de santé libéraux seront construits sur Alençon, à Perseigne et dans le centre-ville, pour permettre d’accueillir de nouveaux médecins généralistes libéraux mais aussi spécialistes. Le centre hospitalier d’Alençon mène également un important chantier de modernisation, 4 millions d’euros viennent d’être investis dans un nouveau service de réanimation à la pointe de la technologie. Il faut poursuivre cet effort en particulier par la modernisation du bloc opératoire et des urgences pour lesquelles l’ARS a déjà débloqué 1 Million d’euros. La construction d’un nouvel hôpital est aussi un objectif majeur. D’un coût estimé de 150 à 200 millions d’euros, ce projet au long court, s’il venait à être retenu et validé par les nombreuses instances concernées, s’étalerait sur une durée de 10 à 15 ans. Je défends pied à pied notre hôpital auprès de la ministre de la Santé.

Lire aussi : Municipales 2020. A Alençon : quelles solutions pour les friches de La Re et du Grand-Cerf ?

Sophie Douvry

L’accès aux soins avec la désertification médicale est une préoccupation majeure des Alençonnais, des Ornais et, plus largement, d’une grande majorité de la population française. Si cette question ne devrait pas être posée à un candidat à une mairie, elle prend tout son sens en ce moment. Cette question relève de l’Etat qui, une nouvelle fois, reporte son inaction sur les collectivités locales sans compenser financièrement. Alençon n’est pas un cas isolé. Les médecins spécialistes manquent dans de nombreuses villes. Alors les élus de proximité, sur le terrain, cherchent des solutions. 
Quelles sont celles qui s’offrent à un maire sans pouvoir agir sur le numerus clausus, … ?

Attirer un médecin spécialiste c’est lui donner envie de venir vivre à Alençon, avec sa famille. Il est nécessaire d’offrir un cadre de vie agréable, avec des services, des commerces, l’accès à la culture, un emploi éventuel pour sa ou son conjoint et des perspectives de formation pour ses enfants.
Je ferai d’Alençon une ville attractive et je propose à court terme : 5 % en moins sur la part communale de la taxe foncière pour faciliter l’installation ; avec la création d’un guichet économique unique, rendre efficace l’installation d’un cabinet et la recherche d’emploi pour un conjoint ; un environnement durable pour la famille (circuits courts pour les cantines, végétaliser la ville dès les premiers mois et installer des ruches par exemple) ; promouvoir partout en France qu’Alençon est une ville positive : les avantages d’une préfecture au cœur d’une campagne boisée à découvrir. 

A moyen terme : un nouveau théâtre et un axe culturel et sportif en accord avec la place d’Alençon en tant que Préfecture (grand complexe sportif, université du sport, festival international…) ; un centre-ville attractif, plaisant et dynamique avec un travail en coopération avec les commerçants.
Mais c’est aussi proposer d’accueillir les praticiens dans un nouvel hôpital en synergie avec la clinique. Les oppositions privé-public n’ont plus lieu d’être, aujourd’hui, tous l’ont compris et doivent travailler de concert pour satisfaire les patients, sauver leur outil de travail et investir ensemble.
Des solutions proposées par le Conseil départemental avec le centre départemental de santé, par la ville également, pour la médecine générale, commencent à porter leurs fruits. Nous devons continuer à proposer des solutions innovantes pour attirer les médecins et les développer vers les spécialistes. Cela se fera si les solutions sont cherchées, ensemble.
Peut-être peut-on aussi proposer des bourses aux étudiants en médecine souhaitant se spécialiser en contrepartie d’une obligation d’exercer à Alençon pendant quelques années, accompagner l’installation comme on le fait pour les commerçants et favoriser l’emploi du conjoint.  

Aucune piste ne peut être écartée et les nouvelles technologies doivent être suivies de près, comme le développement de la télémédecine.

Lire aussi : Municipales 2020. L’économie au coeur des préoccupations des candidats à Alençon

Pascal Mesnil

Nous pensons qu’il n’y a pas de solution « municipale » à court terme au délai d’attente d’un spécialiste. Il est vain de penser que l’on attirera des médecins pour reproduire la médecine libérale d’hier. 

En règle générale, si le médecin généraliste considère que le rendez-vous est urgent, il appelle ou fait appeler par sa secrétaire pour avoir une réponse.
Dans ce cadre, développer les consultations en secteur hospitalier (service public) semble le mieux répondre aux besoins d’Alençon au regard du profil de sa population : âge, chronicité des affections. Actuellement, les consultations de dermatologie vont dans ce sens et prévoit une collaboration avec la médecine de ville. Le partenariat en cancérologie et hématologie, médecine interne, à l’hôpital va dans le même sens.

Développer des partenariats avec les centres hospitaliers plus importants se fait déjà pour la cardiologie avec Caen, la cancérologie avec Le Mans. Il faudrait donc les conforter.
Nous proposons aussi de réfléchir à la création d’un plateau de consultation en privé au Centre Municipal de Santé (CMS) pour les spécialités cliniques. Mais embaucher un spécialiste est difficile et coûte cher car il faut souvent un plateau technique. On pourrait mettre en place des conventions avec des créneaux réservés aux patients dans un délai raisonnable et des créneaux d’urgence (dermatologie, ophtalmologie). On peut aussi imaginer la présence d’un rétinologue pour orienter ensuite les patients vers l’ophtalmologue.
Dans le cas particulier de l’ophtalmologie, une convention entre un orthoptiste et un ophtalmologue pour mesurer la vision peut permettre d’espacer les demandes de rendez-vous. Mais ces derniers ne sont pas forcément prêts et/ou d’accord et certaines pathologies risquent d’échapper à un diagnostic précoce.

Dans l’avenir, la mise en place de communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) prévoit qu’il n’y ait plus un patient sans médecin traitant mais aussi qu’on puisse répondre à des soins non programmés (petites urgences) et aux besoins de prévention. Cette organisation par les professionnels de santé pourrait aboutir à des parcours de soins pertinents. En effet beaucoup de consultation de spécialistes qui devraient être du ressort du généraliste court-circuite ce premier niveau de soin (parfois par l’absence de médecin traitant).
Le volet prévention ne doit pas être négligé, des ateliers ville santé doivent être mis en œuvre afin de lier la santé à l’alimentation et à l’environnement dont on sous-estime trop souvent l’impact sanitaire.

Pour finir, il est certain que la solution est aussi nationale et passe par l’obligation de pratiquer un certain nombre d’années dans les zones sous tension.
Nous pensons que le développement de la consultation numérique à distance ne doit pas être prioritaire. La télé expertise peut-être intéressante mais rien ne remplace un examen clinique en présentiel, le patient n’est pas toujours en mesure de décrire vraiment ses symptômes. En outre, cela comporte le risque d’amplifier la désertification.
Devant cette carence médicale d’ensemble, tous les acteurs de la santé devront travailler de concert afin de trouver des solutions pour nos concitoyens.

Lire aussi : Municipales 2020. La question du jour aux candidats d’Alençon : Le stationnement est-il un problème ?

Joaquim Pueyo

La communauté urbaine d’Alençon avec le concours de la ville va construire au cours de l’année 2020 un Pôle de santé libéral ambulatoire sur deux sites (centre-ville et Perseigne ) qui aura vocation à installer des médecins généralistes et accueillir des consultations de spécialistes, sans compter les importantes initiatives du Conseil départemental de l’Orne. Par ailleurs des projets privés ont été mis en place pour y accueillir des médecins spécialistes. Toutes ces initiatives contribuent à accroître le nombre de consultations. Il faut également louer le centre hospitalier intercommunal Alençon- Mamers et la clinique Saint-Joseph pour leurs actions déterminantes dans ce domaine.

La télémedecine peut répondre dans certains cas à cette problématique . Cette nouvelle technologie de l’information et de la communication doit se déployer sur les structures accueillant des médecins comme le centre municipal de santé, le centre départemental de santé le PSLA mais également sur d’autres lieux publics comme les EPHAD ou les pharmacies . Elle permet une consultation à distance par un médecin généraliste ou spécialiste par vidéotransmission avec le patient.
La collectivité, dans le cadre d’un dialogue avec tous les partenaires, devrait intervenir pour accompagner le déploiement de ce dispositif qui, cependant ne remplacera pas la pratique médicale classique.

Toute cette démarche en faveur du parcours de soins nécessite de la coordination. Aussi, je proposerai de mettre en place un Conseil Local de Santé en lien avec l’Agence régional de santé de Normandie qui serait une instance de concertation à l’échelle de la ville et de la communauté urbaine d’Alençon regroupant les partenaires de différents secteurs (soin, prévention, social, insertion).

Olivier Toussaint

Si la santé n’est pas directement une compétence municipale, elle doit être l’un des engagements majeurs du mandat. La situation du nombre de médecins spécialistes dans l’Orne et en particulier à Alençon est dramatique. Le département de l’Orne a déjà mis en place des conventions avec le CHU de Caen et la faculté de médecine afin d’accueillir des internes à l’Hôpital d’Alençon. La municipalité devra se mobiliser et agir afin de les convaincre de rester et de s’installer de manière pérenne sur notre territoire après leur internat. Tout comme pour l’économie, le Maire doit être le VRP de sa Ville.

J’ai déjà dit que la réalisation d’un nouvel hôpital ne me semblait pas réalisable en l’état. Mais je me battrai au nom de la Ville et de la Communauté Urbaine, avec le Département et la direction de l’Hôpital afin de poursuivre la rénovation et la modernisation de l’hôpital actuel. Sans cela, il nous sera impossible de faire venir de nouveaux spécialistes.
Nous proposerons à ces nouveaux médecins d’intégrer les pôles de santé libéraux que nous souhaitons remettre au premier plan. En effet, Alençon a souffert de la concurrence stérile entre les collectivités avec la création du pôle de santé municipal qui n’est pas dimensionné pour accueillir des médecins spécialistes et qui n’a fait qu’affaiblir des projets plus globaux qui bénéficiaient de la coopération entre les collectivités et du soutien de l’ARS.

Ces pôles répartis dans plusieurs quartiers de la Ville seront dotés d’une plateforme de prise en rendez-vous en ligne en plus d’un secrétariat classique. Sur cette plateforme, les spécialistes indiqueront leur période de prise de rendez-vous et les Alençonnais pourront s’inscrire librement. Pour celles et ceux qui rencontrent des difficultés avec l’informatique, la Mairie proposera une aide dans l’utilisation de cet outil. Cette plateforme pourra également être ouverte dans un second temps aux rendez-vous à l’Hôpital, à la Clinique mais également aux spécialistes qui souhaiteraient garder leur indépendance. L’objectif est clairement d’accompagner les professionnels et les patients de manière moderne et simplifiée, pas d’usine à gaz.

La Mayennaise Léa Grison descend les pentes enneigées avec son kayak

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Léa Grison, permanente au club de kayak de Laval, aime dévaler les pentes enneigées des Alpes. Les 19 et 20 janvier, elle a participé à l'Outdoormix à Vars (Hautes-Alpes).

Léa Grison, permanente au club de kayak de Laval, aime dévaler les pentes enneigées des Alpes. Les 19 et 20 janvier, elle a participé à l’Outdoormix à Vars (Hautes-Alpes). (©DR)

La pratique est encore méconnue du grand public. Mais pour Léa Grison, 21 ans, le kayak sur neige est une véritable passion. Licenciée depuis l’âge de 8 ans au club de kayak de Mayenne, elle est aujourd’hui permanente au club de Laval où elle encadre jeunes et adultes. Mais le moins que l’on puisse dire, c’est que la jeune fille est adepte de sensations fortes !

« Par rapport à ici, dans le Sud, il y a plus de dénivelés »

« A partir de mai, je suis libérée par le club de Laval pour partir dans le Sud. En juillet et août, je suis guide de rafting », explique celle qui est titulaire d’un DEJEPS (Diplôme d’État jeunesse, éducation populaire et sport).

Léa Grison vit pleinement sa passion : « Je me mets au kayak de rivière. Je ne navigue plus trop par ici. Dans le Sud, il y a plus de dénivelés. » Du kayak de rivière, mais aussi sur la neige ! La jeune sportive revient en effet d’une semaine de vacances à Vars (Hautes-Alpes).

« Parfois, on pagaye même si ce n’est pas très utile »

Léa Grison a participé à l’Outdoormix les dimanche 19 et lundi 20 janvier 2020. « Il s’agit de l’unique course d’Europe de kayak sur neige, qui se pratique avec les mêmes équipements », explique-t-elle.

Elle précise : « On est quatre à prendre le départ d’une piste de 800 mètres avec des virages relevés, sans bosses. C’est un peu comme le ski cross. Parfois on pagaye, même si ce n’est pas très utile. En plaçant la pagaie sur le dos, on peut effectuer des dérapages. Avec les jambes, on peut mettre le bateau sur la tranche. »

Sur place, elle a pris part à des courses mixtes, où elle a terminé en 4e position. « Je visais le podium… », regrette-t-elle. Puis, avec les trois autres filles présentes parmi la totalité des participants, elle a participé à la finale féminine, qu’elle a cette fois-ci remportée.

« Je pense que la discipline va bien se développer »

« Beaucoup de kayakistes pratiquent le kayak sur neige, constate Léa Grison. Je pense que la discipline va bien se développer. L’Outdoormix d’hiver a été bien relayé médiatiquement. L’an dernier, il n’y avait qu’une dizaine de participants. Là, nous étions beaucoup plus ! « 

En attendant le retour dans le sud au printemps, Léa Grison va terminer la saison d’hiver à Laval. Puis elle participera les 28, 29 mai et 1er juin à l’Outdoormix d’été, en freestyle ou en rivière. « Ensuite, avec des potes, on espère bien se rendre en Italie pour The King of the Alps, un championnat européen de kayak extrême. »

S’ensuivront des compétitions en France, dont les Natural Games à Millau (Aveyron) à la fin du mois de juin. La compétition ne pourra pas devenir son métier. Mais à l’avenir, la jeune Mayennaise envisage de s’installer dans les Hautes-Alpes. Voire encore plus loin… »Il est possible d’être guide de rafting un peu partout dans le monde !  » Léa Grison voguera bientôt vers de nouveaux horizons.

Toulouse. Le Nabuchodonosor, mythique bar à vin du centre-ville, va rouvrir ses portes

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Le célèbre bar toulousain à l'esprit libertaire et philosophique va rouvrir ses portes dans la même dynamique qu'à ses débuts.

Benjamin et Boris, deux amis de longue date vont rouvrir le Nabuchodonosor, célèbre bar toulousain à l’esprit libertaire et philosophique. (©Nabuchodonosor)

Ouvert dans les années 80, le Nabuchodonosor situé au 15 Rue du Coq d’Inde, dans le quartier des Carmes de Toulouse, est un bar bien connu des spécialistes du vin, mais aussi philosophes de comptoirs, artistes et célébrités qui venaient refaire le monde autour de ses tables. Comme Claude Nougaro, qui disait de ce grand bistrot :

Ici, on mange des tartines, mais on mange le vin aussi.

Francis Cabrel, Jean-Louis Aubert

D’autres artistes comme Francis Cabrel ou encore Jean-Louis Aubert du groupe Téléphone ont fait escale dans ce bar. Un esprit libertaire bien ancré que Benjamin Böhle-Roitelet et Boris Delmas, les deux repreneurs aimeraient remettre au goût du jour dans ce bar historique qui avait obtenu le droit de fumer légalement à l’intérieur. C’était aussi un bar avant-gardiste dans le milieu du vin comme l’explique Benjamin :

Dès les années 80, on a pu boire dans ce bar du vin en fût en inox comme pour la bière. Le Nabu était à l’avant-garde de ce qui se développe aujourd’hui dans des bars un peu branchés des capitales.

Pour lui, le vin amène les mots et c’est ce qu’il recherche avant tout, faire parler les gens, qu’ils rient ensemble et discutent. Sans avoir à réserver comme dans des restaurants, ils viendront ici comme dans les vieux bistrots avec une zone debout pour se parler et boire son verre de vin.

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Un bar avant-gardiste dans le milieu du vin et proche de l’esprit du bistrot

Un livre a même été consacré à ce bar, « Six soupes et sept cuites » signé Luis Soriano qui reprend des discussions de comptoirs de ce bar mythique. Il est aussi l’un des premiers lieux où les gens ont pu découvrir dans les années 80, des vins sans ou avec peu d’intrants, biologiques, en biodynamie, naturels, à partager autour de discussions sur l’écologie ou des sujets sociaux dans un esprit de partage que ses nouveaux propriétaires, Benjamin et Boris, tiennent à maintenir :

Dans l’histoire du bistrot, il y a celui des comptoirs, ceux d’Angers, Saumur, Saint-Sébastien sont au départ des lieux d’échange, de partage où les gens sont debout et discutent avec des inconnus. On aimerait remettre ça au goût du jour et surtout mettre en valeur le travail de vignerons qui travaillent comme de vrais auteurs. On tient à accompagner cette nouvelle génération de vignerons qui se tourne vers le bio.

Des vins naturels pour encourager ceux qui font le pari des vins sans intrants

Benjamin et Boris avaient à cœur de choisir des produits avec un impact positif sur les sols, « essentiel aussi pour donner du goût au vin ». Les deux amis comptent par ailleurs travailler avec des producteurs dans le même état d’esprit comme Benoît Doussot, un jeune de 22 ans à l’origine de la Maison du champagne. Le jeune homme produit ce qu’il appelle « le champagne des clandestins » et aide des producteurs de sa région à aller plus loin dans leur production de raisins « dans une dynamique de territoire ».

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Des vins pétillants, ou orangés, ces vins blancs vinifiés comme du vin rouge, quelques nouveautés risquent de surprendre les visiteurs comme le canard cuit au chaudron de Lendrevier dans l’Aveyron ou encore de la charcuterie de cochons élevés dans la paille, des cochons d’Apalhat de la ferme Millas. Une belle surprise les attend à la cave pour l’ouverture qui aura lieu le premier week-end d’avril.

Deux amis de longue date à la tête du bar

Benjamin Böhle-Roitelet et Boris Delmas sont au départ deux deux amis de longue date. Ils produisaient ensemble au départ des groupes de rock à l’époque et se retrouvent aujourd’hui autour de ce nouveau défi. Benjamin est issu du numérique et a lancé il y a quelques années Ekito, qui héberge des start-up toulousaines avant de se spécialiser dans l’intelligence artificielle. Il désire aujourd’hui « revenir les pieds sur terre » :

Souvent, les gens du milieu de l’informatique investissent dans leur domaine, je trouve ça plus intéressant de m’éloigner du virtuel et revenir à la terre, de m’intéresser à des choses plus réalistes on va dire.

Boris Delmas quant à lui a travaillé dans le soin et veut soigner les gens d’une autre manière : « Par le rire et le vin » pour le plaisir de vivre. Il est aussi l’animateur très remarqué de Vivino, un compte instagram spécialisé dans les bons vins. 

Aurore Cros

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